Sexapade au Québec
Datte: 09/07/2017,
Catégories:
Entre-nous,
Les hommes,
Je vais raconter mes exploits sexuelles au Québec, ils n’ont rien de remarquables si ce n’est l’exotisme du lieu. Je dois avoir un sixième sens pour repérer les lieux de drague même dans une région où je n’avais pas mis les pieds . Au cours de mon séjour au Québec, j’ai découvert intuitivement un lieu de drague nature, certes, il doit y en avoir plein d’autres, mais celui-là je l’ai découvert par mon flair, toujours en quête de quéquette pour faire joujou. Je suis arrivé sur une petite île sur la Rivière des Prairies à Montréal (je ne pourrais donner son nom officiel, je l’ai oublié) et tout de suite, j’ai senti que ce devait être un lieu de drague même si à ma première visite, cette île accueillait des familles venues pique-niquer par dimanche ensoleillé et des pêcheurs à la recherche d’une bonne prise… Moi aussi j’étais à la recherche d’une bonne prise, pour niquer sans me faire piquer ! J’y suis donc retourné un beau matin, au lever du jour, et j’ai découvert des hommes flânant ça et là, l’île n’est pas grande et l’on peut la voir, dès l’entrée, dans toute sa dimension. Il y tout de même des recoins et des décrochages de terrain pour des ébats discrets. Je me suis donc mis en planque dans un endroit discret et j’ai attendu tel un pêcheur qui vient de lancer sa ligne. Dans leurs rondes au-dessus de l’onde, les hommes passaient et repassaient sans pour autant s’approcher. Mais il y en a eu un, plus téméraire qui a fait des rondes de plus en plus rapprochées. J’étais assis ...
... sur un rocher me permettant d’avoir ma tête à hauteur de ses couilles. Je suçais mes doigts de façon suggestive. Il s’est enfin approché à portée de bouche et a sortit son vermisseau que j’ai gobé. Le froid avait sans doute flétrit plus que de coutume ce petit serpent cracheur qui a pris de l’assurance et de l’ampleur au sein de ma bouche chaude, humide, accueillante et avide. Ce donneur de queue était sur l’expectative et lorsqu’un autre personne est passé à vue, il s’est vite retiré, a remballé son matériel et s’est éloigné de moi comme si l’on ne s’était jamais vu. Le danger passé, il est revenu à la charge, son objet ayant gardé une certaine tenue ce qui m’a permis de poursuivre ce que j’avais commencé sans avoir à tout reprendre du début. Ma bouche experte a mené mon visiteur à l’extase, mais là juste avant d’exploser il s’est retiré et a fécondé la terre de sa semence, me laissant sur ma faim, malgré une tentative d’attraper à la main le précieux liquide blanchâtre de sa jouissance. D’autres queues se sont présentées, toute aussi avares de leur jus et naturellement, pas question de sodomie, malgré mes fesses exposées et attirantes. Prudence, prudence. Cette île est pourtant surnommée « l’île aux fesses », vous ne trouverez nulle part cette indication, c’est un des jouisseurs de sperme qui me l’a dit. Celui-ci arrivait sur l’île à vélo et s’asseyait toujours à la même place sur un banc avec table (celle-ci permettant une certaine discrétion pour une fellation). Lors de mes ...