Sexapade au Québec
Datte: 09/07/2017,
Catégories:
Entre-nous,
Les hommes,
... flâneries sur cette île, j’ai aperçu son goujon légèrement sorti de son nid, j’ai compris qu’il attendait un suceur. Je me suis approché, assis à côté de lui et je lui procuré ce qu’il attendait et il m’a récompensé par un don en liquide qui a réjoui mes papilles. Il est devenu alors sur les semaines suivantes mon fournisseur officiel, puisqu’il venait toujours à la même heure. De plus celui-ci acceptait de se déverser dans ma bouche. Mais au bout de quelque temps, je l’ai laissé car il me posait beaucoup trop de questions et ma quête de queue pour moi doit rester anonyme pour être jouissive. C’est lui qui m’a donné le nom de cette île. - En France, j’ai eu pendant des mois, un tel fournisseur de spermes, contacté, sur un site de rencontre gay. Nous avions rendez-vous sur un parking de covoiturage. Je laissais ma voiture et lui m’emmenait dans un coin tranquille. Pendant qu’il conduisait, j’étais couché sur lui pour donner vie à son serpentin et arrivés dans sa zone de sécurité, il sortait, je m’agenouillais devant lui et le pompais jusqu’au jus. Je devais l’avaler c’était la condition de cette rencontre. J’aimais bien avoir mon sperme régulier. C’est lui qui me contactait par sms, j’étais à sa disposition. Un jour, il m’a fait bander fort car il m’a demandé si j’acceptais de me faire enculer pendant que je le sucerais. Il avait trouvé sur le net, un enculeur pour moi, mais comme cela arrive souvent sur le net, cet éventuel baiseur était un mytho que nous n’avons jamais eu. ...
... Mais il m’a permis de me masturber à fond dans l’espoir d’être pris entre deux queues. Fermons cette parenthèse et retournons au Québec - En dehors de cette « île aux fesses », j’ai découvert un autre lieu lors de mes promenades dans les rues de Montréal, je n’utilisais pas alors de GPS ou de Google Map, cela n’existait pas encore pour le grand public. Et pourtant, j’ai trouvé un des rares et peut-être le seul cinéma-porno de cette ville. Un petit cinéma glauque, avec seulement deux salles contiguës, l’une avec un film hétéro, et l’autre Gay. Mais dans l’une et l’autre salle il y avait de la queue à déguster. Là, j’ai pu me faire prendre à cru plusieurs fois. Je restais debout, au fond de la salle, le cul offert. C’était un self service ou les gens pouvaient venir plonger leur bite raide désireuse de jouir dans ventre ou pas. Dans une salle, un spectateur se faisait sucer et moi j’avais la bouche disponible. Je me suis assis près de celui qui se faisait pomper, montrant un grand intérêt à ce jeu sexuel. Il a compris et s’est amusé en allant d’une bouche à l’autre et lorsqu’il a senti la crème monter, il s’est extrait de la bouche de mon concurrent pour venir se vider dans la mienne. Joie comment a-t-il su que j’étais un très bon récepteur ? Dans l’autre salle, j’ai eu deux queues en même temps en bouche. Une volumineuse et rêche et l’autre plus modeste mais très douce à mes lèvres. J’ai vu l’opportunité de les répartir au mieux, proposant à la douce de venir s’enfoncer dans ...