Chatte chaude ne craint plus rien...
Datte: 04/02/2018,
Catégories:
Partouze / Groupe
... maladroitement, la tête ailleurs, mais le sexe raide, tendu contre son ventre. J’en suis là, quand je les vois passer devant nous, Gabin, une main dominatrice passée autour de la taille de Bernadette, et elle, les yeux hypocritement baissés, rythmant du mouvement de ses beaux seins leur marche vers la chambre conjugale… Non, ils ne vont pas se contenter de flirter, ils vont baiser… baiser ! J’ai l’impression de recevoir un coup de massue. Troublé par ce que je viens de voir, je m’assois sur le canapé où Albine me rejoint. Machinalement, sans grande conviction, mais tout de même excité, je reprends mes caresses sur ses seins, puis les prends dans ma bouche, et les lèche, les suce, et approche un doigt de son sexe pour tenter de la faire réagir… En vain, je suis tétanisé, bloqué par ce que j’imagine se passer dans la chambre… le corps de Bernadette livré aux mains, à la bouche, au sexe de Gabin, surtout à son sexe… De plus, Albine se dégrise, se montre réticente à aller plus loin, peu désireuse de compromettre par son inconduite un éventuel retour de son mec, auquel elle se plait à croire. En s’excusant de me laisser « dans cet état-là », elle se lève et, me laissant seul et un peu vexé, va rejoindre la chambre d’amis. Frustré, j’entre dans la chambre conjugale et réclame la libre disposition de mon lit et de ma femme. Sur la couche, Gabin et Bernadette, enlacés, s’embrassent. Les mains de l’homme ont repris possession des seins et du sexe de Bernadette tandis qu’elle lui ...
... caresse doucement la queue, comme pour le flatter et l’encourager avant l’assaut à venir. Ils cèdent, et Gabin sort pour aller dormir sur le canapé convertible du salon, tandis que je me couche à côté de Bernadette, nue, à la place de celui qui était bien parti pour l’y baiser. Nous éteignons la lampe. Je bande encore, douloureusement… Il faut que je baise ! J’entreprends de caresser les seins de Bernadette et glisse un doigt dans son con, bien humide. Elle repousse ma main, me signifiant qu’elle ne désire pas faire l’amour avec moi, pour ne pas frustrer Gabin qui l’a désirée, qu’elle a désiré, et qui est à côté… Par défi, je lui suggère, bêtement, d’aller le rejoindre, convaincu qu’elle n’en fera rien, puisqu’elle a accepté de délaisser ses caresses pour dormir avec moi. À ma grande surprise, Bernadette accepte, guillerette, ma proposition (« C’est vrai, je peux ? »), se lève, se couvre à la va-vite d’un peignoir et, sans même prendre la peine de le fermer, elle s’en va rejoindre Gabin dans le salon. Bernadette Gabin était trop excité pour pouvoir s’endormir et s’attendait à nous entendre faire l’amour ; aussi est-il agréablement surpris de me voir débouler, nue, offerte, sous le peignoir ouvert, et quand je me penche vers lui pour l’embrasser, il me fait basculer à côté de lui, ses mains fébriles s’emparent de mes seins, puis glissent vers mon sexe, pour en retrouver la prometteuse humidité. Sans poser de questions inutiles, il me libère du peignoir et nous reprenons avec ...