1. Chatte chaude ne craint plus rien...


    Datte: 04/02/2018, Catégories: Partouze / Groupe

    Valentin La fatigue a eu raison de moi, et j’ai fini par s’endormir. Ce matin, tôt, j’ai été tiré de mon sommeil par des bruits dans la pièce d’à côté… pas n’importe quels bruits… les ahanements d’un homme qui baise, les halètements, puis les gémissements, de plus en plus rapides, d’une femme qui baise, qui va bientôt jouir, puis son cri rauque, saccadé, quand elle jouit… Encore… ils sont insatiables… Je pensais pourtant qu’hier soir, Gabin et moi avions suffisamment «pratiqué » Bernadette pour la rassasier… Mais non, il semble bien que le sommeil a réveillé leur faim de sexe… Bernadette et moi formons un couple serein. Nous acceptons les libertés que l’autre prend avec ses engagements matrimoniaux, même si, pour ma part, je reste plutôt «fidèle » (quoique, parfois… quand la tentation est trop forte…). Elle me raconte, sans s’appesantir, ses balades sexuelles, comme si elle me dévoilait la couleur des plantes qu’elle cultive dans son jardin secret. J’aime faire l’amour avec elle, j’aime son corps de femme épanouie, sensuelle, lubrique parfois, mais je n’ai jamais eu envie de la voir livrer son corps, ses beaux seins pleins, lourds, son ventre accueillant à la bouche, aux mains et au sexe d’un autre homme. En cette fin d’été, Bernadette et moi recevons dans notre maison de Nancy d’anciens collègues de Metz, Gabin, marié mais en train de divorcer, et Albine, qui vient d’être quittée par son mec. Le repas se déroule dans une ambiance amicale qui, l’alcool aidant, se réchauffe ...
    ... doucement. Après le repas, nous passons au salon où, avec une douce musique en toile de fond, les libations continuent d’accompagner nos discussions. J’ai l’esprit passablement embrumé par l’alcool et, tout en faisant l’intelligent devant Albine, qui, avec son corps à la Jane Birkin, me plait bien, je ne prête pas trop attention à ce que se disent Bernadette et Gabin. Jusqu’au moment où Gabin lance, d’une voix rauque, faussement enjouée : — Et si l’on faisait un strip-poker ? Me retrouver nu, en public, ne m’effraie pas, car nous avons, dans le passé, pratiqué, l’une ou l’autre fois, le sauna mixte mais, pris par une brume alcoolisée, je ne me rends pas bien compte de ce que cela signifie, ni jusqu’où nous allons être amenés à aller… Bernadette : Dès l’arrivée de nos hôtes, j’ai perçu les regards que Gabin adressait à mon corps, et j’en ai été flattée, car je ne me vois pas comme une femme belle et désirable. Pendant un instant, j’ai jalousé Albine pour son joli petit corps, mince et sans volumes saillants. Les avances de Gabin m’ont plu, et j’y ai répondu, malgré mes complexes, maladroitement, par des regards détournés, qui voulaient lui dire « Merci, c’est gentil de ta part, mais je ne vois pas comment… ». Puis il m’a murmuré, plus clairement, qu’il me avait une furieuse envie de baiser avec moi. Je l’ai rassuré... Je pense que mon mari ne sera pas un obstacle infranchissable… J’ai vu son sourire, un peu carnassier, quand il me regardait comme un félin qui lorgne une proie. ...
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