1. Thèse à la grecque. L'étudiante et le pêcheur. (4)


    Datte: 04/02/2018, Catégories: Voyeur / Exhib / Nudisme

    ... très chaud aujourd’hui. Je ne suis pas habituée. C’est un peu dur pour moi ! — Oui. C’est très chaud. Ce sera mieux dans 2 ou 3 jours. Je vais pêcher. Du poisson pour ce soir ? — Oui, bien-sûr… — OK. Je t’en apporterai. A ce soir ! Adonis. Il est si beau ! Il a surgi de nulle part… Il était là j’en suis sûre ! Il était là quand je me douchais ! C’est lui qui a fait ce bruit ! Il m’a vue. Il m’a vue sous la douche. Il me matait ! Il a vu mon corps, mes seins, mes fesses, ma toison, mon sexe… Il bandait. C’est sûr. Il se touchait. Il voulait me baiser, mais il n’osait pas ! Il voulait me prendre, là, me coller contre le mur, m’écarter les fesses, et me baiser. Me prendre par derrière, violemment ! Me mettre sa belle queue, là, bien profond. Dans mon vagin, d’abord. Je le lui offrirais, cambrée pour lui. Il me tiendrait. Fermement. Ses mains écraseraient mes seins tellement gonflés, durs. Glisseraient parfois sur mon ventre, monpubis, monentrejambe, trouveraient mon clitoris enflé… Son bassin me claquerait les fesses, les étreindrait. Il me lècherait, me sucerait le cou, les épaules… Puis, il voudrait sûrement essayer. S’introduire. Là. Mon petit trou… Je le laisserais. Il entrerait doucement. Timide. Je l’aiderais. J’écarterais. Je travaillerais. Je le guiderais. Là. Oui. Tout doucement. Attends un peu. Oui. Comme ça. Doucement. Oui. Voilà. Oohhhh…. Adonis…. 11 JUILLET lcleetd Je flotte. Allongée sur le dos, portée par la mer, j’offre mon corps nu au soleil naissant. Je flotte ...
    ... doucement, jambes et bras écartés. J’ai plongé, nagé, exploré. L’eau tiède qui caresse mon corps. La fraîcheur, plus profond. La lumière. Cette crique est un paradis. Le jardin d’Adonis. Adonis qui va venir, c’est sûr. Comme tous les matins. Je me laisse porter. Doucement, à tout petits coups de pieds, de bras, je m’oriente vers le fond de la crique. Je suis nue, allongée sur le marbre brut. Le soleil glisse sur mon dos, mes fesses, mes jambes. Je suis abandonnée, calme, sereine, mais pleinement présente, là, à moi, à mon corps, au soleil, à la mer… A Adonis. Il est là. Je l’entends. Il fait coulisser ses câbles, grincer la poulie, amène son filet. Je l’entends frapper ses poissons contre le rocher. Je n’ouvre pas les yeux. Il est là. Je suis nue. Il me voit. Il voit mes fesses. Mes cuisses. Mes jambes. Ma tête est de son côté, vers le large, mes pieds vers la falaise, mon corps légèrement de biais. Il peut me voir toute entière. Je suis toute à lui. S’il me veut. Il a plongé ! J’entends sa nage. Il se délasse. Il batifole. Il s’éloigne un peu. Revient. Il ne bouge presque plus. Il fait la planche, certainement. J’ouvre un œil. La lumière m’aveugle. Enfin je le vois. Il est là-bas, bien au-delà du rocher. Il s’est remis à nager doucement, vers le large. Tout à coup je le vois plonger. Il refait surface au bout d’une grosse minute. Il fait à nouveau la planche. Il est à contre-jour, je ne le distingue pas bien. Mais, j’ai l’impression qu’il est nu lui aussi ! Je soulève un peu ...
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