1. Thèse à la grecque. L'étudiante et le pêcheur. (4)


    Datte: 04/02/2018, Catégories: Voyeur / Exhib / Nudisme

    ... rocher, dans la lumière rasante… Inconsciemment, j’ai entrouvert la bouche et je reste immobile, fascinée… Il me regarde fixement. Même d’ici, je sens maintenant de l’assurance dans ce regard. Il sait qu’il a gagné. Qu’il a pris l’ascendant. Qu’il fera de moi ce qu’il voudra… Quand il voudra. Et pour l’instant, il ne bouge pas. Il reste assis sur le bord du rocher, regarde parfois la mer, puis repose à nouveau les yeux sur mon corps. Je m’y suis habituée. Je me suis légèrement penchée en arrière, en appui sur mes mains posées derrière mon dos. Ma poitrine est tendue. J’ai un peu desserré mes jambes, moi aussi, dévoilant tout le triangle noir entre mes cuisses. De là-bas, peut-il voir la naissance de ma fente comme je vois son sexe ? Ma fente qui s’élargit, de plus en plus… Mais, j’ai l’impression que son sexe aussi réagit ! Non ! Adonis ! Il s’est levé ! Il va partir ! Il s’est retourné et enfile son maillot, son bermuda. Il ramasse ses affaires. Il s’en va ! ! ! Avant de se lancer dans l’escalade il se retourne vers moi. Il m’adresse un dernier regard appuyé et me salue gentiment de la main droite. Je lui rends son salut. Il monte. Je regarde mon bel éphèbe grimper à la falaise, à toute vitesse. Toujours aussi agile, précis, puissant. Je l’imagine à nouveau nu. Ses sublimes fesses tendues, sa verge, ses bourses, oscillant entre ses cuisses écartées, au gré de son ascension… Son sexe… il est à moi. Il est là. Sous mes yeux. Je m’avance. Je le contemple. Fine tige blanche. ...
    ... Attirante aiguille surplombant deux sphères précieuses. Je le sens. L’odeur puissante de son sexe. De ses fluides, de la sueur, de la mer… Je m’approche. Je l’effleure, le respire. Je dépose un long et délicat baiser. Sur sa queue. Sa belle queue. A moi. Je pose ses bourses dans ma main ouverte. Je les caresse doucement. Sa verge s’est gonflée. Elle se dresse. Elle est tendue vers le ciel. Je la couvre de petits baisers. Son gland s’est libéré, dévoilé. Je le regarde, je m’en approche. Je dépose un baiser à son extrémité. Ma langue. Je le touche. Le lutine tendrement. Je descends. Mes lapements se font plus vifs. Le goût du sel. J’aime ! Je continue, je lèche ses couilles ! Je les lèche avidement, entièrement. Je veux les manger ! Je les prends en bouche, une après l’autre. Je les fais danser sur ma langue, je les caresse… Sa verge est dure, longue, épaisse ! Je la tiens dans ma main gauche. Je le branle doucement. Il soupire. Il aime ! Je ne lâche plus ses précieuses billes ! Je les veux pour toujours ! Enfin, je les relâche, me relève un peu, reprends mon souffle, lève la tête vers son visage. Ses yeux plongent dans les miens. Il est ému, haletant, la bouche entrouverte, à ma merci. Je tiens fermement son sexe dans ma main. Je le presse, le tire, le caresse… Je me penche sur son bout violacé. Je pose ma bouche. Il glisse doucement en moi. Je l’enserre fermement entre mes lèvres charnues. Je coulisse. Je descends. J’avale. Son gland, sa verge, glissent sur ma langue. Je ...
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