1. Thèse à la grecque. L'étudiante et le pêcheur. (4)


    Datte: 04/02/2018, Catégories: Voyeur / Exhib / Nudisme

    ... remonte, je vais et viens lentement. Ma langue presse gentiment son membre, tout du long. Il s’enfonce. Je le sens contre ma luette… L’odeur de son corps, de son bas-ventre, emplit mes narines. J’en veux plus… J’avance. Il est dans ma gorge. Il me remplit. Il ouvre sa voie. Je vais l’avaler. Je recule, reprends ma respiration, reviens… Ma tête rencontre son ventre, je plonge dans sa toison noire. Le membre tendu du jeune pêcheur s’enfonce en ma gorge ! Adonis ! Je suce Adonis. Je le suce avidement. J’aime sa bite ! J’aime ses couilles ! Je le dévore, je ne veux plus que lui, là, dans ma bouche, sur ma langue, entre mes lèvres. Le goût du liquide séminal… Perle après perle. Il annonce sasemence. Je le recueille. Je le goûte. J’attends… Je vais vite, loin, profond. Ses mains caressent mes cheveux, mon visage, mes épaules… Ses cuisses sont tendues, crispées. Sa verge tressaille. Il va venir. Je suce. Je suce. Je suce…. Il vient ! Il jouit ! Il crie, un cri primal, un soulagement du ventre ! Comme le cavalier ! Le cavalier de Marini. Celui qui a le sexe en érection. Celui qui m’a tant intriguée… Je suce mon beau pêcheur, mon cavalier marin. Il éclate en moi, en extase, tendu vers le ciel, penché en arrière… Sa semence m’inonde. Je la goûte, je l’avale, son sexe s’enfonce dans ma gorge et je me gave de son sperme. Il se répand. J’absorbe tout. J’aspire. Je le vide. J’ai joui. J’ai joui, là, sur le rocher, nue. Son sexe dans ma bouche. J’ai joui. Seule. Les doigts des deux mains ...
    ... dans mon vagin, sur ma chatte, entre mes fesses… Adonis. La belle queue d’Adonis, qui m’échappe encore… Quand me la donnera-t-il ? 13 JUILLET Michel m’a renvoyé un message. Il commence à se calmer. Il est inquiet ! Il me supplie presque de lui répondre, de ne pas faire de bêtise, de lui renvoyer mon plan, mes textes, que d’accord, je peux avancer comme ça, mais qu’il peut m’aider… Je m’en fous ! J’avance sans lui et j’écris à une vitesse folle. Tout était là, en moi, depuis des années. Ma thèse. Il fallait juste que je me libère, que je laisse venir… Ca coule… Je n’aurai peut-être même pas besoin de deux mois… Je pourrai prendre de vraies vacances ! Ce connard de Michel. Il m’a manipulée, freinée… Six ans ! Six ans que je me laisse faire. Qu’il me tient en laisse. Mais c’est fini ! Fini ! Maintenant je veux baiser Adonis ! Adonis ! Il me veut lui aussi, c’est sûr. Sa queue qui se dressait hier… Il l’a vite cachée, il s’est enfui, timide… Mais il n’attend que moi. Il veut la glisser dans ma chatte ! Cette nuit, endormie, nue sur le lit, porte ouverte, j’ai encore entendu un bruit dehors. Je suis sûre que c’était lui ! Je l’ai senti ! J’ai senti son regard. Je n’ai pas bougé mais je suis sûre qu’il était là, qu’il me regardait. Et qu’il se touchait. Il me mate. Il me guette. Depuis le premier jour. C’était lui, à chaque fois. Je le sais maintenant. C’est un petit voyeur ! Il aime mater les femmes en cachette ! Et j’aime ça ! Il y a du vent aujourd’hui. Un vent fou. Impossible ...
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