L'amour au bureau (2ème partie)
Datte: 04/02/2018,
Catégories:
fh,
extracon,
Collègues / Travail
fépilée,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
BDSM / Fétichisme
Oral
pénétratio,
fsodo,
extraconj,
... se retire, je ressens une impression de vide. Avant que j’aie le temps de me relever, je sens une caresse sur mes lèvres intimes : il est en train de m’essuyer délicatement avec un mouchoir en papier. Puis il embrasse chacune de mes fesses et rabaisse ma jupe sur mon postérieur. Il m’aide à me relever. Il s’est déjà rhabillé : il est vrai que j’ai mis un moment à atterrir, après ce plaisir dévastateur. — Bon, ce n’est pas que je veux être rabat-joie, mais si nous voulons être discrets, il ne faut pas rester ici trop longtemps.— Tu as raison ; moi, il me faut toujours un petit moment pour me reprendre.— Au fait, tu veux remettre ton string ? Je l’ai pris quand je suis allé chercher les clés.— OK, rends-le-moi ; seulement, si tu préfères, je ne le remets pas : de cette manière, tu auras le souvenir de mon petit cul nu sous ma jupe.— Tu es vraiment une gentille aguicheuse, j’adore. Et on recommence quand ?— Alors ça, je ne sais pas ; je vais y réfléchir. Je ne voudrais pas que cela devienne automatique, il n’y aurait plus de charme. Comment fait-on pour sortir ?— Je vais y aller en premier. S’il n’y a personne dans le couloir, je cogne à la porte, tu sors et moi je rentre à nouveau ; je te laisse quelques minutes et je sors à mon tour.— Ok, tu m’appelles pour aller prendre un café ?— D’accord. Il sort. Quelques secondes après, il cogne à la porte. Je sors à mon tour et je me dirige vers mon bureau, en faisant comme si je venais directement de la cafétéria. Assise à mon bureau, ...
... je me demande si je ne suis pas en train de faire une grosse bêtise : avoir des relations avec un collègue de travail, cela peut être gênant ; les mauvaises langues sont légion, mais cela reste du domaine personnel. Par contre, baiser sur les lieux de travail, c’est limite faute professionnelle. Tant pis ; je pense que le jeu en vaut la chandelle, la vie est courte. De plus, braver les interdits est toujours excitant. Je réfléchis à ce que je pourrais trouver pour mettre un peu de piment dans nos relations, sans prendre trop de risques ; il est impossible d’aller régulièrement dans la salle des serveurs sans se faire repérer un jour ou l’autre. Comme je ne veux pas être soumise au désir de Christophe, je cherche quelque chose d’aléatoire et, en même temps, d’érotique. Après quelques instants de réflexion, en pensant à la soirée de vendredi, je trouve une « astuce » ; j’ouvre ma messagerie et lui envoie le courriel suivant : Quelques minutes après, le téléphone sonne. C’est Christophe. — J’ai reçu ton courrier ; l’idée me plaît, même si je n’ai qu’une chance sur trois.— Si tu es un bon observateur, tu peux augmenter tes chances : il y a des signes qui ne trompent pas.— Je te paye un café et tu m’expliques ?— OK, j’arrive. Je me dirige vers le distributeur. Christophe m’attend ; il n’est pas tout seul. Heureusement, le temps que nos boissons se préparent, les autres s’en vont. — Allez, explique-moi !— Si tu ouvres bien les yeux, il y a des choses qui transparaissent.— Quoi, par ...