L'amour au bureau (2ème partie)
Datte: 04/02/2018,
Catégories:
fh,
extracon,
Collègues / Travail
fépilée,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
BDSM / Fétichisme
Oral
pénétratio,
fsodo,
extraconj,
... exemple ?— Les élastiques de ceinture, les bourrelets que font les coutures sur les fesses ; et puis, c’est à toi de deviner.— Qui me dit que tu ne vas pas tricher ?— Personne. Mais tu peux me faire confiance : je ne me défilerai pas.— Et on commence quand ?— Pas aujourd’hui, tu sais comment je suis. Demain, ça me paraît bien.— Ok, je vais attendre demain avec impatience. Nous finissons notre café et retournons à notre travail. Jour 2 Le lendemain, je vais au travail habillée d’une robe sous laquelle j’ai mis un porte-jarretelles et un string. Je ne suis pas certaine que Christophe puisse se faire une idée de ma tenue ; tant pis, c’est le jeu. Cela se confirme bien avec le mail qu’il m’envoie : Il n’a vu ni les attaches du porte-jarretelles, ni la ceinture. Je lui réponds le message convenu avec un petit commentaire : Jours 3 et 4 Malheureusement pour lui, il se trompe encore les deux jours suivants. Il est vrai qu’il n’a statistiquement qu’une chance sur trois. D’ailleurs, le troisième jour, il m’envoie une réponse en me disant que rien ne prouve que je ne triche pas. Je me dis qu’il faut que je fasse quelque chose car, autrement, Christophe va se décourager. Je lui réponds : Jour 5 Le lendemain, je mets un porte-jarretelles et un string. En plus, je choisis une jupe fine et fluide, à travers laquelle il n’est possible de distinguer les attaches du porte-jarretelles que quand je me tiens dans certaines positions. Ce qui me permettra d’être discrète vis-à-vis de mes autres ...
... collègues. Cela ne me gêne pas d’être habillée un peu légèrement, même sexy ; cependant, je pense que si certains s’apercevaient que je mets un porte-jarretelles, les potins iraient bon train. J’ai bien le droit de m’habiller comme je veux ; mais comme les mauvaises langues sont nombreuses, je préfère ne pas me faire remarquer. Nous sommes vendredi et je veux lui faciliter la tâche ; aussi je suis décidée à enlever mon string, s’il ne s’aperçoit pas que j’en porte un ou s’il pense que je n’en ai pas mis, puisqu’il sait que cela m’arrive souvent. C’est de la triche ; néanmoins, c’est pour la bonne cause. Au bureau, j’attends avec impatience le moment où je vais aller prendre mon café et où Christophe va essayer de distinguer toutes les marques que mes sous-vêtements peuvent laisser sur ma jupe. Il m’appelle à l’heure habituelle ; je le rejoins sans attendre. Dès que j’arrive au distributeur, je vois ses yeux parcourir mon corps. Pendant qu’il me sert un café, je m’installe à une de ces tables hautes qui permettent au consommateur de poser son gobelet et l’obligent à boire debout. L’avantage, c’est qu’il y a une barre sur laquelle on peut poser un pied. Ce que je m’empresse de faire : ma jupe fine épouse parfaitement ma cuisse ; l’attache du porte-jarretelles fait une petite bosse. Cette fois-ci, je suis convaincue qu’il va trouver au moins une partie de la réponse. Christophe s’installe à côté de moi ; son sourire m’assure qu’il a vu ce que je voulais lui montrer. Il ne lui ...