1. Executive woman (1)


    Datte: 05/02/2018, Catégories: Partouze / Groupe

    ... laissait voir son sexe. Rodolphe était torse nu. Je lui ôtai ses chaussures, ses chaussettes, et défis la ceinture. Il se souleva et je retirai pantalon et boxer d’un geste. Sa hampe se dressa. — C’est fait ma chérie. Elle gardait les yeux fermés. Je bandais aussi très fort. C’était la première fois que j’étais actif dans ses aventures sexuelles. D’habitude, je matais. Quand elle me le demandait, je prenais des photos. Parfois, si l’action durait, je me masturbais. Mais jamais je n’avais touché. Rodolphe était beau et généreusement équipé. Bronzé et soigneusement épilé. Il avait tout de l’Apollon de magazine. — Déshabille-moi aussi. Elle m’aida à faire glisser la jupe roulée, se souleva pour que je la débarrasse du haut. Je lui laissai les bas et les escarpins. Trop sexy ! Elle se remit sur le canapé, semi-couchée. Elle écarta largement les cuisses. Elle sentait nos regards sur elle. Son sexe épilé était entrebâillé. Les chairs roses, brillantes de son jus. Son bassin ondulait doucement. — Rodolphe ? — Oui. — Je t’excite ? — Beaucoup. — Tu as envie de me baiser ? — Oui. — Depuis longtemps ? — Depuis le premier jour. — Huuuum, dit-elle en pressant ses seins avec vigueur. Au début, je croyais que tu étais gay. Ça m’excitait aussi. Rodolphe posa sa main à l’intérieur de sa cuisse et l’écarta au maximum. Sa chatte coulait. — Ça ne m’empêche pas d’être excité par une femme. — Huuuumm. Tu le trouves comment mon mari ? Rodolphe me détailla des pieds à la tête. — Plutôt bien fait. ...
    ... Plutôt sexy même. Oui, j’ai oublié de vous dire, mais la seule chose qui au départ avait pu attirer ma femme, c’est mon physique. Elle en avait eu une idée précise très vite car, après m’avoir renversé un café brûlant sur les cuisses, elle avait tenu à s’excuser dans les toilettes du train. Nous avions fait l’amour comme deux naufragés, pendant deux heures. Quand une pimbêche nous avait agressés à la sortie, elle lui avait dit que c’était trop bon pour arrêter. Depuis, on ne s’était plus quittés. Ma femme se caressait le ventre. Sa respiration s’accélérait. Les yeux clos, elle finit par poser son majeur à l’entrée de son sexe. Rodolphe et moi n’en perdions rien. Il bandait fort et je ne pouvais m’empêcher de regarder cette belle hampe orgueilleuse. — Chéri ? — Oui ma chérie. — Dis-moi comment est sa queue. dgodzzte Tout en maintenant le regard sur l’entrejambe de Rodolphe, je la décrivis très précisément à mon épouse. J’insistai sur le gland renflé, et la hampe aux veines apparentes. Elle écoutait, un demi-sourire aux lèvres rouges de son visage – et le majeur jouant entre les autres. — Huuuumm, ronronna-t-elle, ça me fait envie. Et toi Chéri, tu le trouves comment ? — Je le trouve… beau. — Huuumm… Son majeur s’enfonça en elle. — J’en peux plus maintenant, Rodolphe ! Prends-moi ! Maintenant ! Rodolphe s’agenouilla devant le canapé. Sa belle queue se tendait vers le sexe de ma femme. — Allez, vite, juste un peu ! Je veux sentir ta grosse queue ! Rodolphe attrapa les hanches et ...
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