Executive woman (1)
Datte: 05/02/2018,
Catégories:
Partouze / Groupe
... décolleté. — Tu sais ma chérie, tu n’es pas seulement séduisante, tu n’as pas seulement une poitrine et un cul à damner un saint. Tu laisses à penser, sans le vouloir, qu’avec toi chaque homme a sa chance. — Ton mari a raison, dit Rodolphe. — C’est plaisant, répondit-elle les yeux clos. Son épaisse chevelure brune encadrait son visage pâle, qui lui-même faisait éclater ses lèvres charnues, peintes de rouge. Le whisky avait calmé mes humeurs mais pas mon désir. Je vous l’ai dit, ma femme et moi aimons le sexe, et il m’était arrivé de la partager, de l’emmener dans des endroits glauques où elle aimait se donner à des inconnus devant moi. Moi, je me plaisais à la regarder. Elle est teigneuse et hyperactive, je suis détendu et contemplatif. C’était la première fois que cela se passait chez nous, avec une connaissance. — C’est étrange, poursuivit-elle sans ouvrir les yeux, comme mon corps aime ça, le stress. Rodolphe gardait la main sur le genou, mais maintenant ses doigts le caressaient, ce genou. — Je ressens comme toi, dit-il en remontant sa main sur les fines mailles noires. Un sourire de Joconde apparut sur les lèvres rouges. Assis dans le fauteuil, je regardais. Rodolphe cherchait mon accord. Je ne pipai pas et laissai faire les choses. La paume de sa main dépassa la limite du bas et flatta la peau. Je perçus l’infime ouverture des cuisses. De ma position, je voyais le triangle rouge de son string de dentelle. Elle porta le verre de whisky à ses lèvres et le finit. ...
... Rodolphe l’en débarrassa et en profita pour remonter encore sa main qui disparut à moitié sous la jupe. — Huuuumm, soupira-t-elle, voilà ce dont j’ai envie. Elle glissa dans le large canapé. — Chéri, tu es là ? — Oui, je suis là. — Tu ne voudrais pas me dire comment est Rodolphe ? Est-ce qu’il bande ? — Je pense oui. — Non, vérifie, dis-moi. Rodolphe ne regardait que ma femme. Je me levai et m’approchai de Rodolphe. Je me penchai et tendis ma main entre les cuisses de ce cadre. Il souriait. Je posai ma main entre ses cuisses et y trouvai ce que j’étais normalement censé y trouver en pareille circonstance. Une queue bien raide. — Oui, il bande, chérie. Rodolphe, sans doute électrisé par le passage de ma main, fit disparaître la sienne sous la jupe. Ma femme soupira et se mordit les lèvres. — Ooooh, j’adore. Chéri ? — Oui ma chérie. — Ouvre mon chemisier. Je m’approchai d’elle, maintenant, et dégrafai le chemisier blanc. Sa poitrine apparut. — Le soutien-gorge ? — Oui, souffla-t-elle. Il s’ouvrait par-devant. Je n’eus aucun mal à exhiber ses deux globes dont les tétons étaient dressés. Rodolphe fut captivé par la vue de ces seins. — Chéri ? — Oui ma chérie. — J’aimerais que tu déshabilles Rodolphe. — Très bien. Je m’approchai de lui et l’aidai à retirer sa veste. Il quitta à regret l’entrejambe de ma femme. Délaissée, elle se massa doucement les seins. Elle glissait sur le canapé, faisant bouchonner sa jupe sur ses hanches. Son entrejambe était découvert. Le triangle rouge écarté ...