1. Le Boss - Chapitre 4


    Datte: 06/02/2018, Catégories: f, fh, hplusag, Collègues / Travail fépilée, lunettes, piscine, hotel, fsoumise, hsoumis, fdomine, hdomine, Masturbation Oral pénétratio, fsodo, sm, confession,

    Note préliminaire : Cette série est une expérience d’écriture délibérément pornographique, froide, crue et distanciée, déconnectant tout affect entre lecteur et personnages. Je m’en excuse auprès de ceux qui recherchent le climat « bon enfant » propre à la plupart des textes présents sur ce site. Résumé des épisodes précédents :Voilà déjà plusieurs semaines que je travaille pour Jean-Yves Varmois, un patron aussi exigeant dans le travail qu’appliqué dans ses pénétrations. Malgré quelques maladresses, il me semble cependant que je suis parfois en passe de pouvoir prendre le contrôle. Ou presque. — Non.— Comment ça, non ?— Avec deux N. Un au début, un à la fin.— Léa je suis surpris. Il me semblait que nous avions un accord. Très simple l’accord : il me paye bien au-delà de la valeur réelle de mon travail et me sodomise à loisir. Ce jour-là, j’avais décidé de le priver de cette prérogative. Mon poste pouvait certainement être en jeu, mais le risque lui-même contribuait à une certaine exaltation. J’étais une résistante. Comment Jean-Yves Varmois, l’homme qui en sous-main fait et défait les marchés financiers, allait-il réagir ? — C’est une décision définitive ?— Tout à fait.— Bien. Bouclez le dossier HSBC et préparez-moi une synthèse sur le bilan de la filiale de Jersey. Je sortis du bureau. C’était tout ? Pas de chantage ? Pas de contrainte ? Pas de licenciement ? Pas même une mise au placard ? J’étais étonnée. Je travaillais ici depuis à peine deux mois, d’autres filles de la ...
    ... boîte prenaient sa queue dans un trou ou l’autre, tous les jours, depuis des années, et aucune n’avait jamais simplement pensé à dire non ? Les semaines suivantes se sont écoulées sans que mon patron ne fasse plus la moindre suggestion à caractère sexuel. Bien entendu, il n’était pas en manque : la société compte assez d’employées, toutes recrutées sur les mêmes critères, pour le satisfaire au-delà du raisonnable. Lucie Eckhart en particulier, la petite dinde blonde de la compta, celle qui m’insupporte, était appelée dans le bureau patronal plus souvent qu’à son tour. Tout l’étage pouvait entendre ses écœurants beuglements orgasmiques. J’avais pris en horreur le petit air satisfait avec lequel elle en ressortait. Elle ne se préoccupait manifestement plus guère de son fiancé il y a peu si précieux et se laissait dilater le fondement avec bonheur. Et j’en étais ulcérée. Mon ego ne le supportait pas. Rien ne se passait comme prévu. Varmois enculait n’importe qui, je n’avais donc été qu’un réceptacle comme les autres. Je m’étais leurrée en fantasmant une relation plus forte, une complicité dans notre rapport de domination. J’avais espéré lui devenir indispensable, le rendre accro à mon essence. Échec, Léa Lomont. Son seul besoin était de se vider les couilles, peu importe dans qui. Les hommes de pouvoir sont souvent entourés de femmes que leur puissance attire, j’avais été fort prétentieuse de penser que je pouvais m’imposer à lui au milieu de cette forêt de cuisses s’ouvrant à un ...
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