1. Le Boss - Chapitre 4


    Datte: 06/02/2018, Catégories: f, fh, hplusag, Collègues / Travail fépilée, lunettes, piscine, hotel, fsoumise, hsoumis, fdomine, hdomine, Masturbation Oral pénétratio, fsodo, sm, confession,

    ... Décidément, ce garçon se montrait parfaitement docile. Il était prêt à claquer une fortune dans la soirée, ce que je trouvais plutôt flatteur. Et il ne discutait pas mes caprices. Je commençais à me détendre vraiment. Je me retrouvais. La collaboratrice docile que Varmois avait fait de moi s’estompait, Léa Lomont la prédatrice était de retour. Je passai à la salle de bain et me déshabillai en laissant la porte ouverte. Il me dévorait des yeux, immanquablement. Je pris tout mon temps pour retirer ma robe, lui laissant admirer mes jolis seins et ma cambrure, et ne gardai qu’un string minimaliste qui ferait office de maillot. Puis j’enfilai un gros peignoir doux et moelleux aux armes de l’hôtel et des chaussons. Je rejoignis la chambre, mon compagnon était déjà lui aussi en peignoir, ses vêtements en vrac sur un fauteuil. Dans l’ascenseur qui nous menait au sixième, il engagea une conversation badine. — Je ne connais même pas votre prénom, belle inconnue ! Moi c’est… Je l’interrompis avec un grand sourire : — Je m’en fous. J’ouvris son peignoir, baissai un caleçon noir et sortis sa queue. Il ne bandait qu’à moitié, mais c’était plutôt un beau morceau. Je me penchai et le pris en bouche. Quelques coups de langue appuyés et il se redressa complètement. Le garçon paniquait un peu: trois étages, ça se monte très vite, que trouverions-nous à l’ouverture de la porte ? — Euh attendez ! Si… Je me redressai. Lui l’était pleinement. — Pas mal. Ça devrait faire l’affaire. Il se ...
    ... rembraillait lorsque les portes s’ouvrirent sur le couloir vide qui menait au spa. Quelques portes plus loin, nous fûmes accueillis par une jolie blondinette aux cheveux courts que la blouse de sa profession ne mettait pas en valeur. Contrairement au fantasme entretenu parCanal Plus le samedi soir à minuit, les tenues des employées féminines des grands hôtels sont toujours soigneusement étudiées pour gommer toute sexualité et faire d’elles des êtres neutres qui ne soient pas des cibles pour les clients. Tout l’inverse de la logique de Varmois, en somme. — Bonsoir Madame, Monsieur, la piscine ferme à 22 heures 30. Les serviettes sont à votre disposition ici. Il était plus de 22 heures et il ne restait plus qu’elle pour accueillir les baigneurs tardifs. — Il y a souvent du monde, le soir ?— Presque jamais. Vous êtes seuls et à mon avis, vu l’heure, devriez être tranquilles. Mon compagnon lui glissa un beau pourboire. — Peut-être pourriez-vous vous en assurer ? Elle sourit et escamota le billet. La piscine duBristol est un endroit magique. Au dernier étage, avec de grandes baies vitrées dominant Paris, c’est un bijou de bois et de cuivre donnant l’impression qu’on est sur le pont d’un paquebot transatlantique des années folles. J’ai laissé tomber mon peignoir et ai plongé avec délectation. Nager en hiver sur les toits de la capitale, c’est juste le pied. Du coin de l’œil, j’ai vu le regard inquiet de l’employée. Le topless n’est pas admis, et personne ne pourrait confondre mon string avec ...
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