1. Julie 1 - Ma meilleure amie est une salope - à quatre, sinon rien (2)


    Datte: 06/02/2018, Catégories: Partouze / Groupe

    Chapitre 2 : l’allumeuse Le réveil fut moins difficile que je ne l’avais craint. Déjà, je n’avais pas la gueule de bois. Ensuite, cela voulait dire que je n’étais pas totalement déchiré quand j’ai fait ce que j’ai fait, et que je me souvenais toujours des moindres détails. Je n’étais pas pris de remords. Au contraire, j’étais bien heureux d’avoir vécu une telle expérience. Avec ces souvenirs plein la tête, j’avais de quoi fantasmer sur Julie pendant encore un sacré bout de temps. J’allai toquer à sa porte peu après midi. Je dois avouer que je m’inquiétais un peu pour elle. J’avais peur qu’elle ne vive mal ce que nous avions fait. Elle me fit entrer. Elle était dans un piteux état, autant à cause de l’alcool que de nos prouesses physiques de la veille. Nous parlâmes au début comme si de rien n’était. Je ne savais pas trop comment aborder le sujet, puis je me lançai : — Non, j’étais un peu bourrée, mais je ne regrette pas, me confia-t-elle. J’avais toujours rêvé de faire ce genre de truc. Je crois qu’il n’y avait pas de meilleure occasion pour essayer. Ici, seul, loin de chez nous ; mais il faut qu’on en reste là. Je ne veux pas que cela change quoi que ce soit entre nous quatre, tu comprends ? Oui, je comprenais ce qu’elle voulait dire. Nous étions juste quatre amis qui avions profité de la vie en nous envoyant en l’air, mais cela ne devait rien changer à notre relation. C’est avec cet état d’esprit que je l’accompagnai à la plage rejoindre les autres membres de notre groupe ...
    ... de voyage. Elle mit les choses au point avec Jean et Steve qui avaient l’air d’accepter plutôt bien la situation. Nous passâmes le reste de l’après midi comme si rien ne s’était jamais passé. Enfin presque. J’aurais cru qu’après une telle partie de jambes en l’air, il me faudrait des jours pour récupérer et être capable de rebander, mais il me suffit de regarder Julie et de repenser à la veille pour avoir à nouveau envie d’elle. Les images d’elle en train de se comporter comme une salope défilaient, et j’en voulais toujours plus. Je voulais encore la voir dans cet état. Je tâchai de ne rien laisser transparaitre. Je voulais me comporter comme un adulte et laisser cette affaire derrière nous ; mais plus le temps passait, plus cela devenait difficile. Je n’étais vraiment qu’un pervers. Julie voulut rentrer tôt. Elle n’était pas vraiment en forme. Elle n’avait même quasiment rien fait de la journée à part bronzer sur un transat et parler à des copines. Elle n’avait même pas mis un pied dans l’eau. Je me proposai de la raccompagner et la reconduisis à son appartement. Sur la route, je fus un vrai gentleman, mais une fois arrivé chez elle, je ne pus me retenir de lui dire combien j’avais encore envie d’elle. J’avais une érection d’enfer. Je me collai à elle pour l’embrasser et la peloter. J’avais envie de la prendre ici et maintenant. De ne l’avoir rien que pour moi. J’étais excité comme un puceau, mais elle me repoussa vivement : — Non, Benoit ! Il ne faut pas ! — Je ne vais pas ...
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