1. Julie 1 - Ma meilleure amie est une salope - à quatre, sinon rien (2)


    Datte: 06/02/2018, Catégories: Partouze / Groupe

    ... comme personne. — Mon pauvre chéri. — J’ai profité de ton corps pour me donner du plaisir comme s’il n’y avait pas de lendemain. Je me suis servi de toi comme un sac à foutre. Je ne pensais à rien d’autre qu’à prendre mon pied et à éjaculer. Je voulais te voir soumise, et te souiller pour te faire perdre ta putain d’arrogance ! — Hmm, et j’ai adoré ce que tu m’as fait. J’en ai apprécié chaque seconde ! Dis-moi ce que tu me ferais là si je t’étais soumise ? — Je t’enculerais comme une chienne au raz du sol jusqu’à ce que tu me supplies d’arrêter, et je m’achèverais ensuite en te noyant de foutre. — Hmm, ça t’a plu ça aussi hier, hein ? Sale porc. — Beaucoup ! — Moi aussi j’ai adoré ça. Depuis le début ça m’excitait de sentir vos couilles pleines de sperme qui ne demandaient qu’à éjaculer pour moi. J’avais envie de les vider et de sentir vos queues éclater. J’aurais aimé vous sentir fondre au fond de moi. D’avoir votre foutre me couler de la chatte et de mon cul, et me balader comme ça comme preuve que j’étais bien une salope qui s’était faite sauter par plusieurs mecs. Mais j’ai encore plus adoré votre douche de sperme. Je regrettais presque que vous étiez si peu nombreux. — Putain, Julie ! Je vais jouir ! — Allez, finis-toi ! Je veux te voir en train de venir encore une fois rien que pour moi. Et je veux que tu te branles en pensant à moi à chaque fois que tu en auras envie. Tu n’auras qu’à t’imaginer en train de me recouvrir de foutre. — Ah, salope ! Ca vieeeeeeeeeeent ! Et ...
    ... j’éjaculai devant elle à grands jets. Une partie de mon sperme me retomba dessus et le reste sur le sol. J’avais beau m’être vidé hier, j’en avais déjà à nouveau une belle quantité. Je m’astiquai jusqu’à m’apaiser complètement. J’avais la main toute collante. Il me fallut quelques instants pour reprendre mes esprits, et surtout pour réaliser ce que j’avais fait. J’étais un porc qui venait de se branler devant sa meilleure amie. Mais elle, c’était une cochonne qui m’avait encouragé à le faire pour elle. — Julie... prononçai-je en suffoquant. Tu es vraiment... une tarée. — Je me demande bien ce que cela fait de toi. Tiens, voilà un sopalin, essuie-toi. Je pris celui qu’elle me jeta, et me nettoyai comme je le pouvais. Je m’en voulais un peu de ce qui s’était passé. Elle me laissa un moment seul pour me rhabiller, puis j’allai lui présenter des excuses. — Ce n’est pas grave, fit-elle. Tu as bien vu que cela m’a plu à moi aussi. Tu sais, je crois que moi-aussi je vais avoir du mal à résister à l’idée de recommencer. Je veux bien qu’on remette ça, mais uniquement tous les quatre ensemble. — Quoi ? Tu veux qu’on remette ça, tous ensembles ?! — Oui. Mais pas aujourd’hui. Faut que je récupère. Et puis je crois que tu as eu ton compte, là. Laisse-moi maintenant. Moi aussi j’ai besoin de me masturber ! Essaie de convaincre les autres et fais-moi savoir ce qu’ils en pensent. Elle me jeta ainsi à la porte. Déboussolé. Il fallait que je parle à Jean et Steve au plus vite... Je n’avais pas ...