1. Septième Ciel


    Datte: 06/02/2018, Catégories: hf, ff, inconnu, boitenuit, train, toilettes, amour, Masturbation init, conte,

    En cette douce soirée d’août, j’entrepris de terminer la journée dans mon bar fétiche, un bar de lesbiennes dans le quartier du Marais. Les Scandaleuses, tel était le nom de ce bar interdit aux hommes. J’y adorais l’ambiance, les femmes enfants, féminines, garçons manqués… Au diable le rencard sexe du soir, je n’avais pas de temps à perdre à chercher l’homme idéal et bien membré pour me faire jouir pendant des heures. Je descendis dans le métro, vêtue assez légèrement d’une jupe longue blanche et d’une tunique transparente où l’on devinait un top noir, pas de sous-vêtements qui m’auraient mis plus mal à l’aise que son contraire. Je m’engouffrai dans le premier métro, un rapide regard à droite et à gauche, pas de place. Je pestai sur les transports parisiens et me glissai entre deux personnes. Le métro prit une allure rapide, j’étais secouée de droite à gauche, les corps se touchant à chaque virage. La chaleur dans ce wagon devenait infernale. Je m’apprêtai à m’asseoir quand je sentis une main se poser et pincer mes fesses. Surprise, je me retournai, un homme se tenait juste derrière moi. Il me sourit. Il était assez élégant, ce qui m’intrigua davantage, bien bâti, une chemise légère et entrouverte, un jean dernière mode. Je pus constater, après un rapide coup d’œil, que son sexe était lui aussi de sortie… Je lui rendis son sourire et je me retournai pour me coller un peu plus à lui. Ses mains se plaquèrent sur mes hanches et je sentis son sexe raide entre mes fesses. Le ...
    ... mouvement du métro accentuait ses mouvements de va-et-vient. Je relevai discrètement ma jupe pour lui offrir mes fesses nues. Sans hésitation aucune il fourra son sexe entre mes cuisses et je sentis son souffle chaud sur ma nuque. Il commença à gémir doucement, ses coups de reins devenant de plus en plus pressés. Si je m’étais penchée légèrement, son sexe aurait pu me pénétrer, mais l’endroit n’était pas de mise. Je pris plaisir à me frotter contre son sexe raide. Être dans le métro parmi la foule était très excitant. J’aurais aimé qu’il me pénètre, que son sexe glisse sans effort entre mes lèvres et vienne y plonger. D’un geste rapide, ma main attrapa son sexe et je le branlais fermement, son souffle s’accéléra et son sperme gicla entre mes doigts par saccades. Il glissa un baiser dans mon cou et descendis à la station suivante. Mes doigts ruisselaient de son jus et mon excitation était à son summum. Je retirai de mon sac plusieurs mouchoirs en papier et toujours discrètement, m’essuyai les doigts. Je descendis quelques minutes après ravie de ce début de soirée… Le bar se trouvait à quelques rues de la station de métro. À l’entrée, comme d’habitude, une jeune femme tout en muscle, crâne rasé, tatouages apparents et piercings se prêtait au jeu du « qui entre, qui n’entre pas ». Je lui fis mon plus beau sourire et son clin d’œil en retour me valut le sésame de l’entrée du bar. L’ambiance était sympathique, les filles riaient, buvaient, se bécotaient dans les coins les plus intimes ...
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