1. Septième Ciel


    Datte: 06/02/2018, Catégories: hf, ff, inconnu, boitenuit, train, toilettes, amour, Masturbation init, conte,

    ... et les moins éclairés. Je m’installai au bar et commandai une desperado… la bière des filles… J’aimais cet endroit reposant, tranquille, sans lourdingues prêts à vous sauter dessus ou à vous offrir un verre mais à ne le payer que s’ils avaient en échange votre numéro de téléphone… Les visages ne m’étaient pas inconnus, des habituées. Au fond du bar, une femme d’une trentaine d’années était assise seule. Beau visage, cheveux courts hirsutes, beau corps dans un jean délavé et un teeshirt sans manche près du corps, elle me paraissait assez grande, épaules larges, garçon manqué, avec un maquillage à la Cure, les yeux cernés de khôl. Elle était très attirante. Une douce chaleur me parcourut. Nos regards se croisèrent et à ma grande surprise, elle me fit un geste de venir s’asseoir à sa table. J’avais décidé de passer une soirée tranquille à siroter quelques bières et à écouter la bonne musique pop rock de ce bar. Après quelques hésitations je me levai, ma bière à la main, et m’approchai d’elle. Elle m’invita à prendre une chaise. Quelque chose en elle m’attirait, pourtant je n’étais pas portée sur les femmes, mais elle avait un quelque chose de je ne sais quoi… Nous commençâmes à discuter de banalités, de la pluie et du beau temps, de nos jobs respectifs, de nos rêves, nos envies, notre futur, nos fantasmes. Quelques bières plus tard, nos regards se croisaient avec plus d’insistance, avec peut être de l’envie, du désir… Elle se leva et me chuchota à l’oreille « rejoins-moi en bas ...
    ... ». Sa démarche était celle d’un félin, gracieuse. Je me surpris à mater ses fesses si rondes et si serrées dans son jean. Je me levai quelques minutes après elle et descendis vers les toilettes. L’endroit était aussi animé que la salle de bar. Des filles riaient, se pelotaient, s’embrassaient. La jeune femme s’était mise un peu à l’écart. Dans cette lumière faiblarde elle semblait si mystérieuse. Elle me prit par la main et se dirigea vers des toilettes libres. Nos corps se touchèrent pour la première fois, dans cet espace étroit. Elle fit glisser le loquet et me plaqua contre la porte. Ses lèvres firent la connaissance de mon cou et des dizaines de baisers vinrent m’enflammer totalement. Ses doigts longs et fins glissèrent sous ma tunique et se refermèrent sur mon sein, pinçant mon téton et me faisant gémir pour la première fois. Nos lèvres se frôlèrent, nos langues s’entremêlèrent et nous nous embrassâmes fougueusement. Ses mains me caressaient sans aucune hésitation et s’arrêtèrent sur mon sexe. Ses doigts me pénétrèrent rageusement. Mes gémissements se muèrent en de petits cris que j’essayais d’étouffer maladroitement. Les rires autour de nous s’accentuèrent et mon désir était de plus en plus présent. Elle remonta ma tunique et aspira mes tétons qu’elle mordilla lentement, les suçant, les aspirant, jouant avec. Je m’apprêtais à la caresser mais elle me repoussa violemment, continuant ses caresses et ses baisers. Ses doigts me pénétrèrent un peu plus, s’enfonçant dans mon ...