Vacances en camping car (5)
Datte: 09/07/2017,
Catégories:
Inceste / Tabou
... comme s’il s’agit d’une glace à la vanille, j’adore ça ! Sentant Marion se cambrer un peu en arrière, deux doigts vont bientôt remplacer ma langue, suivis rapidement d’un troisième, et je me mets à la branler. D’abord lentement pour faire durer le plaisir puis, d’un coup, j’accélère la cadence, tout en lui caressant le clito avec ma main libre. À elle aussi il ne lui faut que deux minutes à peine pour qu’elle jouisse sous l’assaut de mes doigts que je ressors trempé de son sexe, et qu’elle me prend aussitôt pour pouvoir les lécher un par un. — Alors, c’était comment ? Je demande. — C’était... wahou, merci ! — Je t’en prie... Nous nous couchons à nouveau sur le dos puis, après quelques secondes, Marion reprend la parole. — C’était vraiment super, frangin... — Je suis d’accord avec toi ! — Je veux dire, c’était tellement super qu’il ne faut pas que ça devienne une habitude... — C’est à dire ? — C’est à dire qu’on ne pourra pas baiser tous les deux tous les jours, ce serait... ce serait malsain, voilà ! — C’est vrai... — En plus, je suis sûre que les parents finiraient ...
... par se rendre compte de quelque chose... — À moins qu’on leur demande de participer ! Marion se redresse aussitôt. — Tu rigoles j’espère ? — Evidemment ! J’éclate de rire et, voyant ma sœur se remettre sur le dos et faire la grimace, je me redresse à mon tour et dépose un long baiser sur ses lèvres. — C’était drôle, non ? — Non, c’était nul, me répond-elle. — Ah bon ? Ma main se pose sur un de ses seins, et je me mets aussitôt à lui pincer un téton, tout en la regardant dans les yeux. Aussitôt, Marion se débarrasse de ma main, et esquisse un sourire. — Bon ok, c’était un peu drôle, alors, admet-elle. — J’aime mieux ça ! Il y a un nouveau silence puis Marion reprend la parole. — Voilà ce que je te propose : on ne fait plus rien du tout pendant les vacances et sur la route du retour... — On remet ça ! — Voilà, ça te va ? Je n’ai pas à réfléchir longtemps avant de donner ma réponse, même s’il est vrai que baiser ma sœur une fois par jour ne m’aurait pas déplu non plus. — Ça me va... — Tant mieux... Un nouveau silence, puis. — Tu vas tenir le coup ? — Il faudra bien...