1. Marie découvre les plaisirs de la patience


    Datte: 08/02/2018, Catégories: f, fh, hplusag, hagé, voisins, complexe, revede, Masturbation nopéné, init,

    ... réponds sur le champ, comme une enfant à laquelle on demande si elle veut un bonbon. J’en ai presque honte. — Oui, je le veux.— Pose tes pieds sur la table, de part et d’autre de mes genoux. Oui, comme ça. Avance un peu ton bassin vers le bord du canapé. Je suis impatiente qu’il entreprenne ce que j’imagine qu’il va faire. Mes jambes sont écartées et il a une vue imprenable sur mon entrejambe recouvert de ma petite culotte blanche de lycéenne sage. Ma jupe bleue s’est retroussée naturellement. Je ne fais rien pour la replacer. Je m’attends à ce qu’il touche directement mon entrejambe, mais non. — J’aime les courbes de tes jambes. Tes articulations sont fines et tu as de jolies rondeurs. Cela te donne de très jolies jambes. Il me touche les mollets, les caresse comme s’il voulait mémoriser leur forme. C’est bon, c’est doux. C’est bientôt le tour de mes genoux et du dessus de mes cuisses. J’en ai presque la chair de poule. J’attends plus et il le sent, il le sait. Comme pour répondre aux signes de mon impatience il me dit : — Il faut prendre le temps de caresser les cuisses d’une femme. Les tiennes sont belles, ta peau est douce, Marie. Tu aimes, non ? Tu dois commencer à mouiller un peu ? Un grand blanc de ma part. Je ne suis pas encore disposée à évoquer mon état et rougis comme une pivoine. — Je… je… enfin…— Ce n’est pas impudique : tu as le droit de le dire.— Oui, je mouille… Il me caresse l’intérieur des cuisses et s’approche lentement de ma culotte, mais sans jamais la ...
    ... toucher. Je commence à me mordre les lèvres et j’écarte davantage les jambes pour lui indiquer un chemin qu’il connaît. Il effleure de son doigt le tissu de ma culotte, sans appuyer. Je ressens des frissons sur tout le corps. Il poursuit ses frôlements sur mes grandes lèvres, en prenant bien soin de ne pas s’immiscer dans la fente de ma vulve. Au bout d’une minute, je n’y tiens plus et commence à me cambrer pour lui indiquer ce que je veux. Mais il sourit, fait mine de ne rien comprendre. Il effleure toujours mes grandes lèvres d’un doigt, par-dessus le tissu. Je comprends que je dois vaincre ma timidité si j’en souhaite plus. Je consens à murmurer un désir. — Dedans, s’il vous plaît. Sous la culotte.— C’est toi qui décides. C’est toi qui choisis ce que tu veux que j’examine. À toi de me l’indiquer clairement. Il veut me rendre active, que je prenne des décisions. Je retire mes jambes de la table, soulève mon bassin et retire ma petite culotte, déjà bien mouillée et me replace dans la même position. Je suis cramoisie de honte et de désir. Je montre ma chatte à un homme, de manière délibérée, impudique. — Tu ne te rases pas, Marie. Tu as raison. Cette mode est stupide. Une toison pubienne est un écrin dans lequel on aime à chercher des perles. La tienne est magnifique. Je ne comprends pas les femmes qui veulent tellement ressembler à des enfants. Je suis rouge comme une pivoine, à l’entendre ainsi parler d’une partie de moi que la morale nous incite à cacher. Ce disant, il se ...