Marie découvre les plaisirs de la patience
Datte: 08/02/2018,
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... lève, se dirige vers sa salle de bain et revient avec un miroir carré d’une quinzaine de centimètres, une serviette et un petit flacon de lubrifiant. J’ai compris qu’il veut protéger le canapé et me soulève pour qu’il installe la serviette. Mais que veut-il faire avec ce miroir ? Nous nous réinstallons. Je suis impatiente qu’il reprenne sa découverte là où il en était. Il place le miroir contre lui et me demande si je vois bien ma chatte. Après plusieurs ajustements, je peux voir mon pubis bien centré dans le miroir. Il reprend enfin ses caresses. Ses doigts fouillent ma toison au-dessus de ma vulve sur le mont de Vénus. Il prend plaisir à s’emmêler dans mes poils. Ce n’est pas désagréable, mais je voudrais qu’il s’intéresse à ce qu’il y a plus bas et je me cambre un peu pour l’y inciter. — Ne sois pas impatiente, Marie. Regarde comme ta vulve s’ouvre. Tes grandes lèvres et tes petites lèvres gonflent. Cela me trouble qu’il utilise un langage aussi exact, précis. Je vois dans le miroir la transformation de ma vulve : mes grandes lèvres se sont écartées et mes petites lèvres colorées se sont déployées. Le voilà qui débouche le flacon de lubrifiant. Il s’en verse un peu dans le creux de la main gauche et s’enduit le bout des doigts de sa main droite. Ses doigts reviennent frôler mes grandes lèvres de haut en bas, en évitant mes petites lèvres qui ressemblent, dans le miroir, désormais à deux ailes de papillon déployées. C’est délicieux. Il semble s’en contenter. — Mes petites ...
... lèvres, monsieur Vidal, touchez-les s’il vous plaît…— J’en ai très envie, ma petite Marie. Tu as vu comme elles sont jolies ? Il reprend un peu de lubrifiant qu’il applique sur ses doigts et prend successivement chacune de mes petites lèvres qu’il étire entre ses pouces et ses index, en les faisant un peu rouler entre ses doigts. Je gémis de plaisir. Le lubrifiant lui permet de les malaxer entre les doigts sans me faire de mal. C’est divin et je pousse des petits cris, la tête renversée. Je deviens indécente. — Oh ouiii ! C’est bon ! Ouiii ! encore… Il pose maintenant ses poignets sur mes cuisses écartelées et fait passer ses index dans ma fente, en tirant sur mes grandes lèvres. Puis les voici en train de caresser l’intérieur de celles-ci, découvrant mon vestibule, béant, avide. — Tu mouilles beaucoup, Marie ! Regarde, ta cyprine coule de ton vagin en gouttelettes. Je me surprends à lui demander quelque chose à voix haute maintenant, sans détour. — J’aimerais que vous vous intéressiez à mon petit bouton, maintenant. Il verse alors un peu de lubrifiant dans ma vulve, et d’une main il écarte mes nymphes. De l’index de son autre main, il tapote sur le gland de mon clitoris qu’il a un peu décapuchonné. Mes cris et mes gémissements se font plus sonores. Le plaisir monte en moi. — C’est bon, hein, Marie ? Tu y es presque…— Oh oui, c’est divin. Je viens… De manière totalement imprévue, il introduit alors deux doigts dans mon vagin. Il entre sans mal car je suis complètement dilatée. ...