1. Vendanges tardives


    Datte: 08/02/2018, Catégories: fh, ffh, grp, fbi, hbi, fplusag, amour, vengeance, Transexuels facial, Oral pénétratio, fdanus, fsodo, hdanus, Partouze / Groupe

    ... la sienne. — Venez avec moi. Rajustez-vous, nous allons continuer à expérimenter nos talents réciproques. Vous le voulez bien ?— Oui, mille fois oui, je vous suis Madame.— Vous me faites rire avec votre « Madame », gloussa la maîtresse de maison en lui prenant amoureusement le bras. * * * * * Allongés côte à côte dans l’immense lit à baldaquins, Elisabeth et Balou reprenaient leur souffle après plusieurs corps à corps enflammés. — Tu sais Balou, je suis une vieille rombière. Pourquoi es-tu si accro à moi ?— Elisabeth, tu es une femme exquise. Tu as de la classe et des manières qui me font craquer. Ta beauté est réelle, ton charme m’attire irrésistiblement. Elle lui avait raconté ses expériences nocturnes avec Bernard son maître de chais, mais également maître de sexe. Grâce à lui, elle avait découvert en elle une soif de sexualité que son mari et ex-maire, ne lui apportait plus depuis belle lurette. Elisabeth repensait à ses ébats de tout à l’heure avec Balou. Il avait été d’une extrême douceur, s’attardant à lui prodiguer une densité de caresses sur chaque parcelle de son corps. Sa bouche, ses mains, l’avaient faite crier de joie. Ensuite tête-bêche, ils s’étaient rendus mutuellement heureux. Puis Balou avait continué à la caresser, s’attardant à câliner sa rondelle, ses fesses, aussi bien avec ses doigts qu’avec sa bouche. Sa langue avait lubrifié le tendre accès pendant de longues minutes, durant lesquelles elle s’était masturbée pour lui. Le plaisir avait été divin comme ...
    ... à chaque fois. « Prends-moi maintenant », avait-elle gémi en lui présentant ses fesses écartées. La hampe de Balou avait pénétré le sillon anal avec aisance, jusqu’à la garde. Elle avait crié son bonheur de se sentir ainsi comblée. Lui, son amant, avait débuté de lents va-et-vient avant d’accélérer progressivement. En même temps, il caressait son abricot d’amour, ses doigts à nouveau la firent défaillir. Longtemps, ils étaient restés imbriqués de la sorte, savourant leur union charnelle, jusqu’à la délivrance suprême. Allongée, sa tête reposant sur la poitrine de Balou, Elisabeth jouait avec les poils, puis elle suçait les tétons qui durcissaient et dardaient sous ses lèvres. Sa douce main se rapprocha du membre au repos. Les doigts fins s’enroulèrent autour du tronc, une lente masturbation débuta. Balou soupira. Il voyait la main d’Elisabeth manier avec agilité son sexe qui reprenait peu à peu de vigueur. — J’aime lorsque tu me branles comme ça, souffla-t-il. Sa maîtresse ne dit rien, elle souriait. Il se pencha vers elle, embrassa son cou, puis sa bouche descendit vers sa poitrine dont il téta goulûment les majestueux globes. Elisabeth vit la verge croître sous sa main, elle accentua ses va-et-vient. La bouche de Balou remonta vers ses épaules, sa langue progressa sur sa peau jusqu’aux oreilles. Elisabeth frissonnait de plaisir. — Tu es belle, dit-il.— Viens sur moi maintenant, beau brun. Elisabeth écarta ses cuisses pour que Balou s’unisse à elle. Il la pénétra doucement. ...
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