1. Vendanges tardives


    Datte: 08/02/2018, Catégories: fh, ffh, grp, fbi, hbi, fplusag, amour, vengeance, Transexuels facial, Oral pénétratio, fdanus, fsodo, hdanus, Partouze / Groupe

    ... escarpins était brisé, et écarquilla les yeux lorsqu’une cuisse « résillée » apparut entre les pans déchirés du manteau. — Vous vous sentez mieux, Madame ?— Mon Dieu mais dans quel état suis-je, gémit Elisabeth.— Vous avez eu de la chance de ne pas être blessée, vous rouliez un peu trop vite, non ? Elisabeth releva pour la première fois la tête vers Balou, elle le dévisagea avant de lâcher : — Merci jeune homme pour votre aide, mais ça va aller. Balou reconnut immédiatement la jeune femme, Elisabeth Dupont, la propriétaire de la célèbre Maison Dupont, propriétaire éleveur de grands crus. Il ne dit rien et l’aida à remettre de l’ordre dans sa tenue. — Si je puis me permettre Madame, il n’est pas bon de se promener toute nue sous un manteau, surtout par un temps pareil.— Occupez-vous de vos oignons, rétorqua sèchement Elisabeth. Elle s’assit au volant, claqua la porte et actionna le démarreur. Peine perdue, la voiture ne démarrait plus. Balou s’éloigna, mains dans les poches, « voilà ce qui arrive lorsqu’on joue au bon samaritain, ça m’apprendra », pensa-t-il. Une portière claqua. — Hé vous ! Ne partez pas s’il vous plaît ! héla Elisabeth.— C’est votre jour de chance Madame Dupont, lui lança Balou. Elle le regarda ahurie, se sentant découverte et prise en faute. Balou déverrouilla le capot moteur. À l’aide d’une lampe torche prêtée par Elisabeth, il tenta de vérifier l’état du moteur et du circuit électrique. Puis il se remit au volant pour essayer de redémarrer la Mini. Le ...
    ... moteur crachota quelques instant, avant de s’arrêter définitivement. — Ces trucs-là sont électroniques maintenant, sans doute un composant a-t-il sauté ou s’est-il déconnecté avec le choc ? Désolé, Madame, mais je ne suis pas un spécialiste.— Bon, bon, il ne me reste plus qu’à appeler un taxi, je ferai enlever ma voiture dans la matinée, dit une Elisabeth excédée.— Euh à 5 heures du matin à Beaune, ça m’étonnerait fort que vous trouviez un taxi.— Comment ça, vous croyez vraiment ?— Oui, ou alors il faut que vous appeliez le centre d’appel de votre assurance. En fait, Elisabeth s’aperçut qu’elle n’avait pas les papiers du véhicule, aucun moyen de rejoindre son domaine. — Et votre mari, il ne pourrait pas venir vous chercher ?— Laissez cet incapable là où il est, je vais appeler mon maître de chais. Fébrilement, elle tapota le numéro de Bernard. La voix nasillarde de la messagerie s’enclencha, là aussi chou blanc. Balou la regarda, il remarqua son désarroi. — Venez chez moi, je vous offre un café, ma voiture est aussi en panne, mais par chance j’habite à deux minutes, ça vous dit ? Plus tard, nous appellerons votre garage.— Mais je ne vous connais ni d’Eve ni d’Adam, pourquoi vous ferais-je confiance ?— Ecoutez-moi bien Madame la petite bourge BCBG, je suis certes un mec ordinaire qui n’y connaît rien au bridge ni à la haute, mais je ne suis pas un bandit de grands chemins. Je vous offre mon humble appartement pour vous dépanner, c’est tout. C’est vous qui voyez !— Ecoutez, ne ...
«1234...24»