1. Vendanges tardives


    Datte: 08/02/2018, Catégories: fh, ffh, grp, fbi, hbi, fplusag, amour, vengeance, Transexuels facial, Oral pénétratio, fdanus, fsodo, hdanus, Partouze / Groupe

    ... vous énervez pas. Je pense que c’est moi qui devrais être agacée, non ?— Et vous pensez vraiment que je vais abuser d’Elisabeth Dupont la Papesse des Beaune 1er cru ? Au bout de quelques minutes de palabre, Elisabeth décida d’accompagner Balou. « Je vais me réchauffer pendant une heure, ensuite j’aviserai » pensa-t-elle. « Il est hors de question que mon mari apprenne mon escapade nocturne ». Elle avait froid et frissonnait nue sous son manteau. Il s’était remis à pleuvoir, l’air froid s’insinuait entre ses cuisses. Elle sentait les bouts de ses seins pointer, mais ce n’était pas de désir. Sa guêpière la serrait un peu trop. Elle se sentait fatiguée après cette nuit de luxure, à marcher en compagnie d’un inconnu qui lui avait offert son hospitalité. « Après tout il est sympa, et serviable, ce qui est tellement rare à notre époque » se dit-elle en resserrant le col de son manteau. L’appartement de Balou était un modeste deux-pièces de célibataire. « L’ordre ne règne pas vraiment ici » pensa Elisabeth en pénétrant dans le salon. — Je nous fais un bon café, proposa Balou.— C’est gentil, vous êtes sympa.— Si vous désirez vous refaire une beauté la salle de bains est par là. Elisabeth se regardait dans le miroir défraîchi. Le lavabo n’était pas de prime jeunesse non plus. « Je suis vraiment une vieille salope » se dit-elle en se regardant dans la glace. La cinquantaine légèrement entamée, Elisabeth disposait encore de beaux atouts. La chevelure blonde, ses yeux bleus, sa démarche ...
    ... féline, sa bouche pulpeuse, attiraient encore les hommes. La peau de son cou était encore ferme comme celle de son ventre et de ses fesses. Elle fila sous la douche. L’eau chaude lui fit le plus grand bien. « Prenez un drap de bain, et mon peignoir » avait suggéré Balou derrière la porte de la salle de bains. Elisabeth se savonna vigoureusement en appréciant la douce chaleur de l’eau. Balou s’activa dans la cuisine. Il dénicha des croissants surgelés qu’il passa au micro-onde. L’odeur de café embaumait l’appartement. « Nom d’une pipe cette femme a de la classe, c’est bien ma veine, j’ai intérêt à assurer » pensa Balou. Il était fébrile, n’ayant pas pour habitude de recevoir des femmes de ce standing. Ses maîtresses ou compagnes étaient généralement issues de la classe moyennement ouvrière et jamais il n’avait eu l’occasion de côtoyer de gens de lajet set. « Allons mon gars, ce n’est qu’une nana, faut te ressaisir » lui souffla une petite voix. — Ah ! je me sens mieux, merci Balou !— Hein ? Elisabeth éclata de rire en voyant Balou sursauter devant elle. Il avait le dos tourné et préparait un plateau de café avec croissants. — Vous m’avez fait peur, Madame.— Oh ! appelez-moi Eli, vous voulez bien ?— D’accord Eli, voici une bonne tasse de café corsé et quelques croissants, servez-vous.— Mmmm, merci vous êtes adorable, gloussa Elisabeth. Elle dévora les croissants avec grand appétit. Balou la détailla, lui jetant des regards appuyés entre deux gorgées de café. Elisabeth portait ...
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