Vendanges tardives
Datte: 08/02/2018,
Catégories:
fh,
ffh,
grp,
fbi,
hbi,
fplusag,
amour,
vengeance,
Transexuels
facial,
Oral
pénétratio,
fdanus,
fsodo,
hdanus,
Partouze / Groupe
... discussion avec Nathalie et Ségolène. « Bon, bon restons zen. Je suis couché à priori sur un matelas, les yeux bandés, poignets et chevilles attachés aux extrémités du lit. Ecartelé qu’il est là, Balou ». Cette constatation lui arracha un sourire. — Tu souris tout seul mon chéri ?— Hein ? C’est toi Elisabeth ?— Tu préférerais que ce soit la reine d’Angleterre ?— Bon ça va, détache-moi.— Et le « s’il te plaît » je me le carre où ? Le bandeau lui fut enlevé. Il cligna des paupières. Elisabeth se tenait debout devant lui. Il était nu. Elle portait une guêpière noire, des bas résille assortis, de hauts escarpins complétaient sa tenue affriolante. Ses lèvres rouge sang et ses ongles de la même teinte se posèrent sur la poitrine de Balou. Elle embrassa, puis mordilla les tétons. Ensuite, ses ongles griffèrent son ventre, ce qui fit gémir son amant. Les doigts longs s’enroulèrent autour du membre qui débutait son érection. Ils le branlèrent délicatement. — Tu es puni pour ce que tu as fait. Nathalie et Ségolène apparurent à leur tour. Elles portaient une tenue identique à Elisabeth, mais rouge pour l’une et blanche pour l’autre. — Aaahhh ! je rêve, vous êtes si belles.— Tsst, arrête tes conneries, dit Nathalie, en prenant le gland dans sa bouche. Elle pompait, Elisabeth branlait, et Ségolène se mit à califourchon sur la poitrine de Balou en offrant son ventre à sa bouche. Il était aux anges. En un éclair, tout cessa. Les trois femmes quittèrent le lit. Ségolène lança : — Voilà ce ...
... que tu rates, cher Balou. Nous allons retrouver en bas dans le salon de charmants Messieurs qu’a invités Elisabeth, et nous les ferons jouir en pensant à toi. Reste ici bien sagement.— Merde vous êtes dingues ! Détachez-moi !— Je t’emmènerai faire pipi plus tard, si t’es sage. Salut, repose-toi. La porte se referma. Balou était perplexe. Des rires, de la musique, il parvenait à entendre ces sons étouffés par les murs. « Elles doivent faire une sacrée nouba », se dit-il. Il resta ainsi seul plusieurs minutes à gamberger. Nouveaux rires. La porte s’ouvrit. Fleur ouvrait le passage, suivie par Ségolène et Bernard. Immédiatement, Ségolène se mit à quatre pattes sur la moquette et offrit son fessier à Bernard. Elle écarta des deux mains sa fente déjà luisante. Bernard ne se fit pas prier, il s’agenouilla devant cette offrande, et pénétra d’un coup de rein Ségolène qui gémissait. — Quel délice de labourer cette femme, tu ne sais pas ce que tu manques Balou. En plus, son sexe épilé est si doux, hummm ! Bernard taquina ainsi Balou, lui ne perdait aucune miette, il pestait intérieurement. Ségolène râlait, elle encourageait Bernard, elle lui criait qu’il était bon, et elle regardait Balou bien droit dans les yeux, tout en se faisant prendre de cette manière. Fleur était nue. Avec sa peau ambrée, sa ronde et voluptueuse poitrine, son membre long et fin tressautait devant les flancs de Balou, elle se tenait debout près du lit. — Tu vas y goûter n’est-ce pas ? dit-elle en avançant son ...