1. Vendanges tardives


    Datte: 08/02/2018, Catégories: fh, ffh, grp, fbi, hbi, fplusag, amour, vengeance, Transexuels facial, Oral pénétratio, fdanus, fsodo, hdanus, Partouze / Groupe

    ... Mais j’aimerais que tu oublies ce que tu as pu imaginer, d’ac ?— Nathie, tu me connais, je suis une tombe. Mais je dois dire que tu n’y es pas allée de main morte. Moi non plus d’ailleurs, je me suis caressée en pensant à vous, c’était délicieux. Nathalie se releva et s’approcha de Ségolène. Celle-ci se leva à son tour. Les deux femmes s’enlacèrent et s’embrassèrent à pleine bouche. — Tu es une coquine Nathie, mais je t’aime.— Je t’aime aussi ma chérie. La prochaine fois nous serons trois, t’es contente ? Ségolène lui rendit son baiser. Elle serrait Nathalie fortement contre elle, puis ajouta : — Oh oui, j’en serais très heureuse ma chatte chérie. Elles pouffèrent de rire, telles deux collégiennes chapardeuses. * * * * * « Sacrée journée », se dit Balou en s’endormant ce soir-là dans son lit de célibataire. Ce samedi matin, il s’était promis d’aller remercier Elisabeth pour son cadeau, c’était la moindre des choses. Il l’avait appelée pour la prévenir, elle était ravie, « Je vous ferai visiter le domaine, et nous goûterons quelques crus », lui avait-elle proposé. Il s’était évidement vite empressé d’accepter, étant amateur de bons vins lui aussi. Une Elisabeth en « Milady farmer » l’accueillit par une chaude poignée de mains. — Suis-je bête, on se fait la bise, non ? questionna-t-elle. Elisabeth colla ses lèvres sur les joues rasées de frais de Balou, ce qui le surprit agréablement. Elle portait une veste de velours couleur rouille, un pantalon écossais, une épaisse chemise ...
    ... assortie à sa veste, d’affreuses bottes complétaient le tableau. — Cela me change, n’est-ce pas ? Je ne suis plus celle qui, presque nue, a squatté votre appartement.— En effet, mais je dois admettre que néanmoins vous avez belle allure dans ces vêtements un tantinet masculin, répondit Balou. Elisabeth pouffa de rire. Sa belle chevelure blonde ondulait dans le petit vent. — Venez, suivez-moi. Balou lui emboîta le pas, ils descendirent dans les chais. — Mon maître de chais n’est pas là, nous sommes seuls, mais je vais vous expliquer toutes les subtilités concernant le nectar de la vie, annonça Elisabeth d’une voix qui semblait très rauque aux oreilles de Balou… Elle lui fit visiter les caves où étaient entreposées les barriques pour les mois à venir. Elle lui expliqua le processus de la récolte, la mise en barrique, la vinification. Balou écoutait attentivement, tout en admirant cette flamboyante quinquagénaire. Ensuite ils dégustèrent quelques verres de grands crus. — Mangez du pain, sinon vous serez saoul mon cher, recommanda son initiatrice.— Votre charmante compagnie m’enivre déjà Elisabeth, vous savez.— Humm et vous prenez-vous pour un grand cru jeune homme ? Je ne connais pas votre nectar…— Le goûter c’est l’approuver, répondit Balou, d’une voix un peu pâteuse. La conversation dérapait délicieusement, c’est du moins ce que pensait Elisabeth, « ce garçon est euphorique, serait-ce déjà l’effet du vin ? « Balou regarda Elisabeth, elle s’était rapprochée de lui, elle plaqua ...
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