Trio sublime
Datte: 09/07/2017,
Catégories:
fhh,
hagé,
fagée,
extraoffre,
poilu(e)s,
danser,
Voyeur / Exhib / Nudisme
BDSM / Fétichisme
odeurs,
Masturbation
Oral
69,
pénétratio,
fdanus,
hsodo,
Partouze / Groupe
ecriv_t,
... ne m’étais jamais rendu compte de ce que l’escalier était aussi raide ! Alors, profitez bien du spectacle ! Lever de rideau ! Et ce faisant, comme si elle était entravée par sa jupe, et que celle-ci l’eût empêchée de gravir aisément les degrés, elle la remonta à deux mains, comme les élégantes aux robes longues le pratiquaient à la Belle Époque, mais se troussant jusqu’aux fesses ! Spectacle féerique que celui de ces cuisses larges dont la blancheur tranchait au-dessus de la lisière des bas, encore soulignées par le trait noir des jarretelles, qui oscillaient lascivement au rythme lent de son ascension, sous le pli des globes fessiers qui s’évanouissaient dans l’ombre du tissu… Arrivée sur le pallier, Sido marqua un temps d’arrêt, cambra légèrement les reins, faisant saillir ses fessiers, remonta sa jupe plus encore, brièvement, laissant entrevoir la splendeur d’un cul somptueux, puis lâcha le tout. Elle se retourna, et nous lança une œillade égrillarde. Elle pénétra dans la véranda. — Mes chéris ! Maintenant, de la musique pour slow frottant ! Sido avait sorti un CD des Platters, et bientôt la musique berça l’ambiance de ses accords sirupeux. Sido se tourna vers nous : — Exercices pratiques, niveau 1 ! Répartition des rôles : Xavier vient de m’apercevoir et m’invite à danser. Toi, Rupert, tu fais tapisserie, sale voyeur ! Et rince-toi bien l’œil !… Xavier, j’accepte votre invitation ! Elle haussa le volume sonore. Nous étions comme plongés dans la musique. Je m’avançai et ...
... pris Sido dans mes bras. Le premier contact fut un peu tendu. Comme une raideur chez Sido, qui n’avait probablement pas encore accepté dans son for intérieur le contact furtif que nous avions eu plus tôt dans l’après-midi, ou qui appréhendait de se livrer comme cela à un tiers devant son homme. Progressivement, la musique aidant, elle s’abandonna, s’appuyant contre ma poitrine, les mains jointes derrière ma nuque, le visage noyé dans mon épaule. Je glissai alors à son oreille : — Savez-vous que j’adore cette danse ? Elle se serra un peu plus. Je continuai en murmurant : — Que vous m’avez donné un air de parfum tout à l’heure… que je cherche encore en vous respirant…— Coquin… Vous m’avez surprise…— Mais vous avez apprécié…— Taisez-vous !— L’odeur d’une lande marine… le goût de votre conque…— Et vous aimez ?— J’adore… la rondeur… l’ampleur… le volume de votre ventre… Mes mains partaient à la conquête de sa chute de reins. Au fil des pas de danse, elles s’égaraient désormais très bas… Je sentais sous ma paume la rondeur de la fesse, la marque de la culotte sous le tissu… Le relief des jarretelles qui allaient chercher les bas… J’avançai la jambe… Ses cuisses s’écartèrent… Sido calla sa cuisse droite entre mes propres jambes… s’appuyant contre mon ventre… Elle me faisait bander à hurler de douleur ! — Vous êtes gros !— Gros ? Elle murmura à mon oreille : — Vot’ grosse queue !— C’est votre ventre… sa rondeur…— J’aime vous sentir…— J’aime penser que je me repose sur votre forêt…— Ma ...