Trio sublime
Datte: 09/07/2017,
Catégories:
fhh,
hagé,
fagée,
extraoffre,
poilu(e)s,
danser,
Voyeur / Exhib / Nudisme
BDSM / Fétichisme
odeurs,
Masturbation
Oral
69,
pénétratio,
fdanus,
hsodo,
Partouze / Groupe
ecriv_t,
... et qui déjà, devant les dames, s’était découvert… Et Rupert, le visage congestionné, renversé dans son fauteuil, la respiration saccadée, doucement, se manipulait… Ce qui donna des idées à Sido ! — Ah bah ! Puisque mon Lapin l’a sortie, on va bien le faire nous aussi ! Avec votre doigt dans mon cul, je peux bien vous sortir la quéquette ! Et voilà qu’elle s’attaquait sérieusement à ma braguette ! Il ne lui fallut pas longtemps pour accomplir son projet ! J’eus à peine le temps de baisser les yeux, que je la voyais accrochée par ma queue, et que ses doigts enserrant ma bite déclenchaient des ondes de plaisir dans ma mœlle épinière. Alors, n’y tenant plus, j’ouvris brutalement son chemisier, baissai les balconnets de son soutien-gorge, puis, la ployant sous moi, dans une sorte de tango sauvage, j’attrapai un téton entre les lèvres, et achevant mon forfait, troussai sa jupe sur ses reins, écartant la soie de la culotte de l’autre main, assaillant sa conque de mes doigts gourmands ! Ainsi, pendant que Rupert nous reluquait de son air lubrique, nous nous trouvions dans une position improbable, où mes deux mains se rejoignaient presque au cœur de sa fêlure, déjà moite de l’émotion qui sourdait de son con, comme la selle d’une luxurieuse monture, dans la dévastation d’une culotte écartelée, béante, qui dévoilait enfin l’efflorescence d’une touffe magnifique. Sido se déhanchait maintenant encore davantage, le buste rejeté en arrière, se retenant d’une main à mon cou et de l’autre ...
... à ma bite, et se frottant lascivement le sexe sur mes paumes, en poussant déjà des râles de plaisir. — Ah ! Mon Chéri ! Aahhh ! Il sait… Aaahhh !… y faire… Aaaahhh !… lui aussi ! Xavier ! Aaahhh ! Continuez ! Aahhh ! Ouiii ! Aahhhh ! Aahhhh ! Aahhhh ! Notre équilibre était trop précaire pour qu’il pût subsister. La musique continuait de se déverser dans la pièce, mais les pas de notre danse s’enfiévraient davantage, et dans un mouvement ultime, nous nous affalâmes sur le canapé, où Sido s’étala de tout son long, les cuisses écartées, nous dévoilant le spectacle de son sexe ouvert et congestionné, sous le rideau luxuriant de l’épais vison qui ornait son bas-ventre. Je me retrouvai agenouillé devant cet autel, et achevai de me prosterner en communiant au nectar qui s’écoulait de sa fontaine de nacre rose. Mon visage était maintenant noyé dans ce bain, et pendant que je dégustais cette ambroisie en lapant les ourlets diaprés de ses nymphes, dont le goût et la fragrance me transportaient dans un paradis de volupté, mon nez pressait et chatouillait la petite hampe dressée à l’orée de sa fente. Sido se tendait à ce contact, ses hanches et son buste oscillaient de droite et de gauche, et alors qu’elle respirait comme cherchant de l’air pour éviter l’étouffement, expirant ensuite en de profonds vagissements, son visage s’était pétrifié, déformé par la jouissance, ses yeux s’étaient clos pour mieux goûter la violence du plaisir qui l’envahissait progressivement au plus intime de son ...