Trio sublime
Datte: 09/07/2017,
Catégories:
fhh,
hagé,
fagée,
extraoffre,
poilu(e)s,
danser,
Voyeur / Exhib / Nudisme
BDSM / Fétichisme
odeurs,
Masturbation
Oral
69,
pénétratio,
fdanus,
hsodo,
Partouze / Groupe
ecriv_t,
... choses inusuelles ! Alors, Xavier, comme tu vas me sauter, il faut que tu t’occupes de Rupert pendant que moi, je te suce ! Elle s’était définitivement rangée au tutoiement, et disait cela d’un air entendu, comme si cela allait de soi. C’était tout Sido ! Quelle aurait été sa réaction si on lui avait demandé de sucer sa voisine ? Je n’en sais rien. Mais là, cela ne la concernait pas ! Elle décidait que personne ne serait spectateur inactif ! Et c’était donc la solution ! Nous étions trois, nous nous amuserions à trois ! Solution strictement pratique. — Xavier, je te demande, comme tu vas me baiser, il faut que tu fasses jouir Rupert ! Et toi, Rupert, il faut que tu fasses pas comme d’habitude ! Donc, Xavier va te truquer, enfin, te sucer, quoi ! Je me mets sur le dos, Xavier met ses couilles sur mon menton ; je suce Xavier, et toi tu te mets devant Xavier, et il te suce ! Bon, bien sûr, si tu veux me fourrer avant pendant cinq minutes, tu pourras ! Comme ça, Xavier, quand il te sucera, en plus du tien, il aura mon goût ! Un vrai cocktail ! Tu verras, Xavier, Rupert, lorsqu’il jouit dans la bouche, c’est salé, mais c’est très bon ! Pour de l’imprévu, c’était de l’imprévu ! Nous échangeâmes un regard, Rupert et moi, et nous comprenions bien qu’il fallait qu’on lui fasse plaisir, à Sido ! Mais Rupert tenta de résister un instant. — Mais, Chérie, j’ai pas eu ma part ! Moi aussi je veux boire à ta fontaine du bas !— Je te reconnais bien là, mon Chéri ! C’est si gentiment demandé ...
... ! Xavier, tu laisseras bien Rupert profiter un peu de l’occasion !— Mais Sido, c’est toi qui décides ! C’est ton mari !— Voilà bien un gentleman ! Allez, Lapin ! Et nous voilà dans la position imposée. Rupert s’était agenouillé devant le con de Sido, la bite tendue et sa moustache se confondant avec la toison de sa belle. Et le bougre s’était attelé derechef à son ouvrage ! Pour ma part, Sido m’avait attrapé par les fesses, hasardé un doigt dans ma raie, et attiré vers elle. Elle s’était emparée de ma queue, et elle me suçait, la garce ! Bien comme il faut, bien autour du gland, passant sa langue sur le frein, titillant le méat, puis, parcourant la hampe de ses lèvres et de sa langue, jusqu’aux couilles, qu’elle embouchait, qu’elle faisait rouler, puis qu’elle relâchait. Elle prit son temps ! Au début, je ne pensais à rien d’autre que cette caresse divine sur mon chibre ! À chacun des coups de langue de Sido, à cette tiédeur humide et douce qui enveloppait ma bite, les yeux dans le vague, l’esprit en plein vol, je lâchais des soupirs contraints, précédés d’un petit son grave, comme une virgule de mes cordes vocales en connexion directe avec mes couilles ! Rupert, profitant du libre accès à la conque de Sido, avait gentiment glissé du berceau en fourrure vers le bas, écartant les replis écarlates et gonflés des nymphes, et agaçait l’entrée de son con de sa langue, commençant sérieusement à réjouir les sens éveillés de Sido. Si bien qu’au bout de quelques minutes, Sido, toute à ...