1. Virginie


    Datte: 09/02/2018, Catégories: fh, Collègues / Travail amour, noculotte, Oral pénétratio,

    La première fois que j’ai vu Virginie, je me suis dit « beau cul celle-là, faudrait voir les seins ce que ça donne ». Virginie avait été engagée par le grand patron pour l’aider sur des nombreux projets. Avant même son arrivée, elle avait déjà fait pas mal parler d’elle. Il fallait dérouler le tapis rouge pour la nouvelle recrue du patron et cela n’était pas du goût de tous, surtout les autres collaboratrices. Une petite jeune, d’à peine 25 ans, qui débarque cela fait vite jaser. En plus, connaissant les goûts du patron pour les jolies femmes, on se doutait qu’on n’allait pas être déçu. Approchant le mètre quatre-vingts, ses longues jambes étaient mises en valeur par une petite jupe plutôt classique s’arrêtant juste au-dessus du genou. Le spectacle de ses longues et fines jambes parfaitement galbées devait attirer le regard de plus d’un homme et la jalousie de nombreuses femmes. La taille était fine et les hanches bien dessinée ce qui mettait en valeur un cul qui avait l’air très ferme et appétissant. La finesse du tissu de la jupe ne laissait entrevoir aucune trace de culotte. Soit la coquine portait un string ou alors encore mieux, rien du tout… Difficile d’évaluer la taille de sa poitrine qui était dissimulée derrière un chemisier plutôt ample. Selon mon expérience j’aurais dit un bon bonnet B voir un petit C. En tout cas, certainement de quoi remplir les mains d’un « honnête » homme. J’aurais à coup sûr l’occasion de glisser un œil dans son décolleté pour me faire une ...
    ... meilleure opinion. Ses cheveux châtains descendaient jusqu’au milieu du dos et étaient négligemment attachés par une petite pince. Son visage était très souriant et ses yeux noisette étaient pétillants. Elle avait cette petite ride d’expression quand elle rigolait qui la rendait totalement craquante. La coquine devait certainement se douter de ses atouts et savait les mettre en valeur. J’étais plutôt ravi du choix du patron. Malgré cela, le premier échange fut plutôt glacial. Je la regardai arriver en haut des escaliers, lui fit mon plus beau sourire et lui lâchai : — Bonjour, bienvenue dans la société. Jean, département marketing.— Merci, moi c’est Virginie. Sur ces mots elle partit vers d’autres collègues, sans même me jeter un regard. Je pris cela pour de la timidité mais je fus à nouveau surpris de voir qu’elle m’ignorait totalement à table le midi lors de la pause déjeuner. Ce ne fut que trois jours plus tard que nous nous sommes parlés. Elle fit irruption dans mon bureau le jeudi en fin d’après-midi et me dit tout net : — J’ai absolument besoin du tarif produit sur les nouveautés sans quoi je ne pourrai pas faire mon analyse pour lundi.— Bonjour.— Ah oui, désolée. Bonjour Jean. Tu comprends avec le stress de la première semaine, c’est pas facile de tout gérer. Au moins, elle n’avait pas oublié mon prénom. — Pas de problème, assied-toi, on va regarder ça ensemble. Elle sembla se détendre et s’assit face à mon bureau. En s’asseyant sa jupe se releva légèrement, je pus ...
«1234...»