1. Virginie


    Datte: 09/02/2018, Catégories: fh, Collègues / Travail amour, noculotte, Oral pénétratio,

    ... découvrir que la belle portait de joli bas couleur chair. Tant mieux, je déteste les collants. Il n’y a pas mieux comme tue-l’amour et en plus, c’est pas vraiment pratique, si vous voyez ce que je veux dire. — Merci Jean, tu me sauves la vie.— Si je peux rendre service. N’hésite pas. Comment se passe cette première semaine ?— Ça va. Il y a beaucoup de choses à retenir mais tout le monde est plutôt gentil avec moi. Je pense que je vais finir la semaine sur les genoux. Je suis crevée. Mais au fait, je sais pas pourquoi je te dis ça. Tu vas te dire « celle-là elle est à peine arrivée qu’elle se plaint déjà ».— Non, non je comprends. J’ai aussi été nouveau. Si tu veux un bon conseil, apprends à te détendre et à prendre du recul sur les choses. Si tu veux je te montrerai un jour les quelques techniques de relaxation que j’utilise.— Pourquoi pas. Tu sais, moi je suis là aussi pour apprendre, dans tout les sens du terme. Cette phrase me laissa perplexe. Était-ce une invitation ? Quelques jours plus tard, alors que je passai devant le local d’archive, je vis la belle ayant toutes les peines du monde à atteindre l’étagère du haut pour y prendre un lourd dossier volumineux. — Laisse-moi te donner un coup de main.— Merci, tu es adorable. La pièce étant assez étroite, je dus me faufiler entre une armoire et elle pour atteindre la petite échelle. Sans pouvoir l’éviter donc, nos corps se retrouvèrent collés l’un contre l’autre. Je sentais son parfum m’enivrer et sa poitrine se soulever ...
    ... et frotter contre ma chemise. Elle respirait rapidement et son regard croisa le mien. Le temps sembla figé pendant un moment. Ses yeux m’hypnotisaient littéralement. La réaction dans mon pantalon ne se fit pas attendre et je sentis une belle érection arriver. Je me dégageai mais elle avait dû sentir mon trouble car elle commença à glousser d’un petit rire nerveux et me lança : — On est à l’étroit, n’est-ce pas ?— Oui, oui effectivement. Je sentis son regard fixer ma braguette et reluquer mon cul pendant que je grimpais à l’échelle prendre le dossier. Je me dépêchai de redescendre et ne pus masquer ma gêne. Elle me prit le dossier des mains et s’apprêta à partir. Je n’allais pas laisser passer une aussi belle occasion. — Attends.— Oui, quoi ?— Je n’ai pas droit à un petit merci ?— Oh, si bien entendu. Je pensais que tu étais pressé de t’en aller et de regagner ton bureau. Eh bien merci alors.— Quoi c’est tout !— Comment ça, c’est tout ?— Bien oui quoi, j’ai même pas droit à un petit bisou après tant d’efforts. Elle se mit à rire. Un de ces rires les plus spontanés que j’ai vus. Elle s’approcha de moi et ses lèvres s’arrêtèrent à quelques millimètres des miennes et elle me dit tout bas merci. Elle se retourna et s’apprêta à partir mais c’était trop tard pour elle. Je la tenais. Ma main enserra sa taille, glissa sur son ventre, je la plaquai contre moi. Mon érection maintenant totale était collée contre son cul. Elle n’essaya même pas de se dégager. — C’est pas un merci ça. Ça, ...
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