Virginie
Datte: 09/02/2018,
Catégories:
fh,
Collègues / Travail
amour,
noculotte,
Oral
pénétratio,
... Elle s’arrêta net et se releva… — On est quitte, je pense, me dit-elle avec un petit rire narquois.— Tu crois ça ! Je vais te baiser, salope ! Je la retournai, plaquai ma queue contre son cul et lui enfonçai immédiatement tout au fond de sa chatte. Elle rentra sans peine. Elle était encore trempée. Je restai bien au fond d’elle sans bouger et lui dis : — C’est que tu veux, hein ?— Oh oui, mets-là moi bien au fond ! Baise-moi, mon salaud ! Fais de moi ta chose ! J’entamai des mouvements de va-et-vient et je sentis la belle se cambrer pour recevoir mes coups de boutoirs bien au fond d’elle. — T’aime ça, hein, salope !— Oh oui, défonce-moi ! Je lui claquai à plusieurs reprises les fesses. Elle adorait ça. — J’ai été une mauvaise fille. Je mérite la fessée. Ses fesses devenaient rouges. Je lui claquai les fesses en rythme pendant que ma queue lui défonçait la chatte. Je ne pris plus la peine d’aller en douceur et lui arrachai les boutons de son chemisier. Je me retirai de sa chatte, lui enlevai son chemisier et son soutif pour découvrir enfin les deux globes imaginés précédemment. Super fermes, la belle pouvait allègrement se passer de soutien-gorge. Ils tenaient tout seuls, comme par miracle. Pas trop gros ni trop petits, ils remplissaient tout de même pleinement mes mains. Les aréoles étaient bien marquées et elle avait de tout petits tétons, hyper sensibles. Je lui aspirai goulûment les tétons et passai plusieurs fois d’un sein à l’autre. Elle avait un goût délicieux de ...
... pêche sucrée. Je me couchai par terre et Virginie vint s’empaler sur moi. Ses seins balançaient devant moi au rythme de mes coups de boutoir. Je ne ratai pas une seconde du spectacle et tentai d’en attraper un au vol. De temps en temps, elle se redressait et se mettait à onduler son bassin tel un serpent. Diable qu’elle était douée ! Il fallait que je change de position avant de tout lâcher. Je voulus faire encore un peu durer le plaisir. Je me redressai et pris la belle dans mes bras. Après un long baiser, elle noua ses jambes autour de moi. Je la soulevai, la plaquai contre le mur et lui enfonçai mon dard au fond d’elle. Mes mains faisaient monter et descendre ses fesses à la rencontre de ma queue et ma bouche goûtait son cou, sa bouche, sa langue. Je me mis à accélérer le rythme et, d’un coup, Virginie se cambra en arrière et se mit à jouir. Je ne l’avais pas senti venir. Immédiatement elle se retira, s’accroupit devant moi et pris ma queue dans sa bouche. Sa langue m’envoyait des décharges éclectiques dans tout le corps. D’une main elle me caressa les couilles ou me branlait pendant que son autre main était discrètement descendue entre ses cuisses. Elle se caressait vigoureusement la chatte. Elle s’arrêta un moment pour me dire : — J’ai envie que tu jouisses sur moi. Choisis l’endroit que tu veux : ma figure, mes seins, mon cul ou dans ma bouche. J’adore le goût du sperme. Il ne m’en fallait pas plus pour que je sente le jet libératoire remonter de mes couilles vers mon ...