Jeudi libre
Datte: 09/02/2018,
Catégories:
fh,
fplusag,
vengeance,
chantage,
Oral
pénétratio,
fsodo,
yeuxbandés,
confession,
... regardé à nouveau la vidéo, cherchant le moyen de démontrer que j’avais été manipulée. Mais je n’ai vu qu’une femme. Une femme qui suit un homme et fait l’amour avec lui. Une femme qui se laisse bander les yeux, appelle un autre, fait les pires horreurs et s’en vante crûment. Cette femme, c’est bien moi. Pascal, cet enfoiré de Pascal a parfaitement réglé sa mise en scène. Personne ne croirait que pour moi c’était juste un jeu, le jeu d’imaginer qu’un autre homme était avec nous. Ensuite, constatant que le piège est parfait et que je suis totalement à la merci de mon mari, l’esprit de vengeance arrive. D’accord j’ai fauté et je mérite un châtiment. Mais pas celui-là. Tendre la joue ! Oh que non ! La brebis ne va pas se laisser égorger sans réagir. L’histoire, même Sainte regorge de fureur, de sang, de batailles, de vengeances. Vengeance ! Oui Vengeance ! Qu’ils paient, d’une façon ou d’une autre. Mon salaud de mari avait tout préparé depuis un moment. Suis-je si transparente qu’il était persuadé de ma faiblesse et que je céderais aux avances, parfaitement orchestrées par son complice ? Il faut croire. Mais, il y a au moins un point qu’il n’avait pas prévu, c’est ma prestation de cochonne. D’ailleurs moi-même je n’arrive pas encore à croire que c’est bien moi qui me suis comportée ainsi. Il faut croire que ce salaud de Pascal m’avait échauffé le sang et que l’alcool a abaissé le point d’ébullition. Manifestement Thomas a été fâché de me voir ainsi. Bien fait pour lui. Pourtant ...
... je dois reconnaître qu’il fait les choses bien et que financièrement je n’ai pas à me plaindre. Mais l’argent n’est pas tout. En quelques jours, j’établis mon plan. Moi aussi je peux être sournoise, sachant jouer des sentiments. Plus exactement des instincts les plus bas. D’abord Pascal. Je vais aller sur son lieu de travail pour bien me faire remarquer par ses collègues et bien sûr, mon mari. Je vais demander à le voir. Je vais lui demander les coordonnées de Cornélius. Et puis je vais bien insister sur le plaisir que cet inconnu m’a procuré. En passant je vais lui dire que je croyais que le « bandeau » était la cause de mes orgasmes, mais que maintenant je sais que ce n’est pas lui, Pascal, mais un autre qui m’a fait jouir ainsi. Mais je vais le menacer de dire à ses collègues comment il a obtenu sa promotion. Accessoirement j’en profiterai pour faire passer le message que c’est un mauvais coup. Les hommes ne supportent pas d’être rabaissés ainsi. Et il va me donner son contact. Ce qu’il ne sait pas encore, c’est que je vais tout de même « cafter » pour sa promotion « canapé », même si le canapé est le mien. Maintenant, je m’en fous que les hommes de la société se moquent de moi. Baiser la femme du patron ! Un exploit ! Mais en tirer un avantage pour écraser ses collègues dans la course naturelle des promotions ? Pas sûr, qu’ils apprécient. Et je ne vais pas me gêner pour faire passer le message du « mauvais baiseur ». Ensuite Thomas, mon mari. Il m’a avoué être obligé de ...