1. Jeudi libre


    Datte: 09/02/2018, Catégories: fh, fplusag, vengeance, chantage, Oral pénétratio, fsodo, yeuxbandés, confession,

    ... impossible.— Promet-moi.— Je te promets. Mon mari lui en avait parlé, mais Pascal n’a voulu trahir ni l’un ni l’autre. Thomas, pour me forcer à admettre une séparation, m’annonce qu’il passe le week-end avec sa maîtresse. Je n’en veux pas à Pascal de m’avoir piégée ainsi. Un piège bien doux où je me rends. Je retrouve avec lui des sensations oubliées. Dès le passage de la grille du parc, il a pris ma main, comme si nous entrions dans un monde différent. Pas de familiarités, même pas une tentative d’étreinte ou de baiser volé. Juste le plaisir de marcher dans ce paysage enchanteur, suivant les pas de Marie-Antoinette dans son hameau. L’air me grise. Le repas traîne en longueur mais c’est pour mieux sentir sa jambe contre la mienne. Je ne refuse pas le vin qu’il me sert. Je cherche l’oubli de ce mari infidèle, pour ne me consacrer qu’à ce moment, un répit avant que la pression pour le divorce revienne. Car il va revenir à la charge. Je l’imagine établissant des plans pour me lasser et me faire sentir seule, inutile, humiliée. Mais Pascal est avec moi. Nos pas nous conduisent vers le centre de la ville. Il s’arrête devant une porte. — J’habite ici. Tu veux monter un instant ? Voici le moment que je redoutais. J’aurais préféré, malgré mes grands principes, qu’il m’entraîne dans le bois, m’embrasse, me caresse, ne me laissant plus la force de résister. Alors qu’ici, il me laisse totalement libre. C’est moi qui dois prendre la décision. Monter, c’est rompre ma promesse. Mais ...
    ... cette promesse importe peu à la personne qui l’a reçue le jour de mon mariage. Thomas est si loin de moi… — Oui. Il suffit de si peu pour basculer. Les escaliers sont un calvaire. Maintenant que j’ai pris ma décision, mon corps est une fournaise. Pascal presse le pas. La porte s’ouvre. Elle claque derrière moi et la main qui m’entraîne me conduit dans la chambre. Lui aussi est pressé. La pénombre est suffisante pour me mettre à l’aise. Il m’embrasse. Je découvre le goût de sa salive et de sa langue qui pénètre dans ma bouche. Ensuite, la frénésie des mains ne se calme que lorsque nous sommes nus. Alors nous nous apprivoisons. Debout, uniquement liés par nos baisers, je caresse sa peau et découvre les muscles déjà imaginés lors de notre première rencontre. Ses fesses sont moulées pour mes mains. Lui, n’en finit pas de flatter mes seins et lorsqu’il arrive vers mon pubis le contact est un frémissement. Alors, il m’invite à m’allonger sur le lit bien tendu. Il m’accompagne mais ne me couvre pas. Je deviens sa chose, la chose qu’il cajole et fait trembler de plaisir. Ma vie sexuelle est un désert depuis de si longues semaines que le contact de sa bouche sur un sein suffit à me faire gémir. — Oui, dis-moi ton plaisir, m’incite Pascal alors qu’il descend vers mon intimité et que je sursaute lorsque sa bouche attire mon clito. Heureusement que les murs n’ont pas d’oreilles car j’obéis à mon amant. Cris et gémissements accompagnent la découverte de ma fente. "Oui…, encore…, ici…, " Je ...
«12...678...14»