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Jeudi libre
Datte: 09/02/2018, Catégories: fh, fplusag, vengeance, chantage, Oral pénétratio, fsodo, yeuxbandés, confession,
... l’encourage alors que j’ai saisi sa tête entre mes mains pour le guider. — Viens. Prends-moi. Je veux te sentir en moi. J’ai dû crier tellement j’ai envie qu’on me prenne. Il est entre mes cuisses. Son sexe que je découvre ressemble à un pieu rose sombre. Il se penche. Sa main guide le gland vers ma fente. Je l’arrête d’un geste et dis : — Une capote, mets une capote.— Pas besoin, j’ai encore fais un test il y a quelque jours et depuis des semaines je ne pense qu’à toi. Toi, j’ai confiance. Sans attendre, le membre avance et pousse le chemin de ma vertu. Il suffit d’une seconde pour qu’une parole donnée soit rompue, comme l’hymen d’une femme. Mais c’est si bon. Satan sait rendre le péché agréable. C’est lui qui me rend si réceptive à ce pieu qui avance. Il avance, repoussant tous remords au fond de ma vulve. Je m’ouvre à mon amant. Bientôt son ventre est sur moi. Je me sens prise, possédée comme une âme qui vient de se vendre. Alors commence une musique magnifique. Le flux et le reflux de ma mouille généreuse accompagne chaque gémissement que Pascal et moi lançons au ciel lorsque son membre puissant entre et sort de mon vagin. Chaque fois qu’emportée par sa vaillance, sa queue, oh, j’ose prononcer ce mot que je disais vulgaire, me quitte, j’ai une poussée en avant afin de la reconquérir. Je jouis encore et encore. Mon maître s’active en moi sans relâche. Comme la femme du parking, j’emprisonne mon amant entre mes cuisses pour qu’il ne me quitte plus. Quelques coups de reins ...
... victorieux. Un spasme. Une grimace qui n’arrive même pas à enlaidir le beau visage de cet homme qui me laboure. Une brûlure humide. Sa semence m’inonde. Il n’en continue pas moins à s’activer tel le laboureur de La Fontaine. Mais le trésor est déjà en moi. Chaque éjaculation apporte une contribution supplémentaire. C’est bon. C’est bon. Il s’écroule sur moi et mes bras viennent compléter le doux lien de mes jambes. Pascal reprends son souffle. — Merci. Il chuchote à mon oreille. Je ne réponds pas, toute occupée à enregistrer pour plus tard ce moment magique. — Tu as soif ? demande mon hôte en bondissant du lit. Ah, la rapidité avec laquelle la jeunesse récupère. — Oui. Mais je voudrais prendre une douche avant.— Oh non, reste comme tu es. Belle étrangère que le séducteur que je suis a ramenée dans sa tanière. Il va lui faire subir les plus grands outrages.— Idiot.— S’il te plaît, reste comme tu es.— Mais je sens la sueur, la transpiration et aussi le…— Délicate Sonia qui n’ose prononcer le mot. Je reviens. Il lui faut à peine une minute pour revenir avec du champagne et des flûtes. Champagne bien frais qui devait attendre une conquête potentielle. — Je l’avais préparé pour toi.— Tu étais si sûr que j’allais céder ?— Non, mais alors j’aurais noyé mon chagrin dans cette grande cuvée, me lâche en riant, ce charmeur de Pascal. Le breuvage descend dans nos gosiers asséchés. C’est presque un sacrilège de boire ce champagne d’une grande année et qui porte le nom d’une marque de luxe. ...