Un voisin dévoué
Datte: 09/02/2018,
Catégories:
fh,
fhh,
fplusag,
jeunes,
voisins,
grossexe,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
légumes,
double,
Partouze / Groupe
fsodo,
... Seb ! Mais je vous laisse travailler… À tout à l’heure ! Une heure plus tard, Seb frappa à la porte de la terrasse pour me dire qu’ils avaient terminé. Je leur proposai de boire un verre, bien mérité, pour étrenner la terrasse. Seb accepta et s’installa avec son camarade dans les fauteuils de jardin pendant que je préparai les verres. Je les rejoignis et nous avons bu en discutant du travail accompli. Les deux jeunes gens étaient en sueur, le tee-shirt collé à la peau, mais riaient de bon cœur. Je surpris à plusieurs reprises leurs regards sur moi mais ne fis rien pour cacher, ni mes jambes largement dénudées par ma robe légère, ni l’amorce de ma poitrine nue sous le tissu. Bien au contraire, la douce chaleur qui montait en moi m’incita à favoriser discrètement leur curiosité. Je retournai dans la cuisine pour chercher deux autres bières. Penchée devant le frigo, deux mains se posèrent sur mes hanches remontèrent le long de mes flancs et vinrent se plaquer sur mes seins tandis que des lèvres chaudes se posaient dans mon cou. C’était Seb ! Ses doigts agiles eurent tôt fait de faire céder deux autres boutons et, écartant le tissu de ma robe, vinrent agacer mes tétons déjà durcis. Plaqué contre moi, je sentis contre mes reins son sexe dur et épais. — Arrêtes ! Tu es fou… Il y a ton copain sur la terrasse…— Et alors ? D’abord il ne nous voit pas. En plus il est poli et n’oserait pas venir dans la maison… Sauf si je l’appelle… Il te déshabillait du regard tout à l’heure et il ...
... serait sûrement ravi d’en voir un peu plus. Ou même de te partager avec moi… Je pense que tu aimerais, non ?— Ne raconte pas de bêtises ! Tu m’as déjà assez bouleversée hier et je ne veux pas tromper mon mari ! Laisse-moi maintenant ! Je ne pensais pas ce que je venais de dire et je laissais les mains de Seb parcourir mon corps, se glisser plus bas sous ma robe pour effleurer mon entrejambe déjà humide, m’arrachant un long soupir et un frémissement délicieux. Dieu que ce gamin savait y faire… ! Avec douceur, il me fit pivoter, je me suis retrouvée face à lui, enlacée, ses lèvres sur les miennes, adossée au rebord de l’évier. Le haut de ma robe ne cachait plus mes seins, offerts à ses regards, ses caresses. Le bas, remonté jusqu’en haut de mes cuisses laissait aussi mon ventre accessible à ses doigts agiles et aux yeux de mon jeune amant. Celui-ci ne se priva pas de laisser à nouveau courir ses mains sur mon corps. J’étais quasiment en transe et ne pus résister à l’envie de poser la main sur l’énorme bosse qui déformait maintenant son jean. Il semblait en effet être aussi bien « équipé » du bas que sa silhouette de jeune apollon musclé me l’avait laissé pressentir. Troublée, follement excitée, j’oubliai la présence de son camarade sur la terrasse, me laissai glisser à genoux devant lui, libérant rapidement l’objet de mes désirs. — Oh… Seb ! C’est moi qui te fais cet effet ? Quelle tige ! Tu es splendide ! dis-je en posant la main sur l’énorme mandrin dressé en mon honneur. Une ...