Un voisin dévoué
Datte: 09/02/2018,
Catégories:
fh,
fhh,
fplusag,
jeunes,
voisins,
grossexe,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
légumes,
double,
Partouze / Groupe
fsodo,
... tige musculeuse, longue et large, surmontée d’un gland gros comme une balle de golf, brillant de désir et qui frémit au contact de mes doigts. J’entamai une lente caresse. Mes doigts ne parvenaient pas à entourer le mât dressé sous mes yeux mais je pris un plaisir immense à aller et venir sur cette tige dure comme du bois, douce comme du satin. Hypnotisée par le désir de Seb orgueilleusement tendu vers moi, je penchai la tête, déposai un petit baiser sur le gland avant, très lentement, de laisser mes lèvres l’envelopper puis l’engloutir tendrement. Malgré mon expérience de l’amour, je ne pus absorber que la moitié de ce splendide sucre d’orge sur lequel je jouais de la langue et des lèvres, l’aspirant lentement puis le recrachant un instant pour mieux l’engloutir à nouveau… Je sentis Seb se raidir sous ma caresse et, bien décidée à m’abreuver de toute sa liqueur, je le pris plus profondément encore, attendant le raz de marée qui allait inonder ma gorge. Mais ce gamin savait se maîtriser, il me saisit aux épaules pour m’obliger à l’abandonner et à me redresser. — Non ! Plus tard Kris… Je veux bien plus encore. Te voir jouir, embrochée sur ma queue. Je veux te donner tout le plaisir que tu mérites.— Grand fou ! Nous n’avons pas le temps, ton copain va se poser des questions et venir…— Tu as peur de lui ? Ce n’est pas un ogre ! Et même s’il devait te manger… Laissant sa phrase en suspens, Seb me retourna à nouveau et, me faisant poser les mains sur le rebord de l’évier, releva à ...
... nouveau ma robe sur mes reins, puis me saisissant par les hanches, fléchit sur ses jambes. Lorsqu’il se redressa, je sentis son gland glisser entre mes cuisses pour atteindre son but et, lentement mais d’une seule poussée, il s’enfonça en moi, totalement. J’ai laissé échapper un petit cri lorsque son gland est arrivé en bout de course, butant sur le bord de mon utérus. Je me sentais pleine et l’énorme tige se mit en mouvement. C’était divin ! Il entama de lents et puissants va-et-vient, me perforant délicieusement. Tout en me possédant à grands coups de reins, il prit mes fesses à pleines mains et je sentis son pouce forcer doucement sur mon anus. À peine une légère brûlure, mes reins furent violés lentement. Cette fois je ne pus résister à la vague de jouissance qui montait en moi, l’orgasme qui me submergea brutalement m’arracha un nouveau cri. La longue tige de chair se retira doucement de mon ventre, le doigt habile glissa hors de mes reins… Les mains et les lèvres de Seb s’ingénièrent à apaiser mon corps. Ma robe retrouva une position plus décente mais, après m’avoir retournée vers lui, mon jeune amant continua à caresser mes seins toujours offerts et lui n’avait pas pris la peine de ranger le mandrin de chair toujours dressé, frémissant, orgueilleux. Nous échangeâmes un long baiser puis ses lèvres descendirent dans mon cou, ses doigts jouèrent quelques instants sur ma robe, faisant céder un à un les quelques boutons encore sagement fermés. Je me retrouvais dénudée face ...