1. Antoine et Juliette


    Datte: 09/07/2017, Catégories: fh, grosseins, entreseins, Oral 69, fdanus,

    ... possession de ses chairs intimes. Elle venait envahir de nouveau son sexe humide et avide de ce ramonage vicieux, qui ne demandait qu’à serrer et enserrer ce pieu de chair au bout duquel un gros gland, qu’elle imaginait bien baveux de ses secrétions de chienne en chaleur, venait cogner contre sa matrice de femme éternelle. Cela lui avait procuré des sensations de plaisir intense où se mêlaient des sentiments confus mais très forts de soumission, de vice et de lubricité extrêmes. Antoine l’avait baisée avec passion, il avait eu l’impression de n’être plus qu’une bite, un gros membre vicieux qui bourrait cette moule baveuse, chaque mouvement lui avait procuré des sensations de plus en plus fortes, qui naissaient à la surface de son gland et envahissaient jusqu’à la naissance des couilles son sexe comprimé. C’est au moment où il l’avait traitée de grosse suceuse lubrique en lui enfonçant la bite jusqu’aux couilles que Juliette avait été submergée par un orgasme tellurique, irradiant des profondeurs de son vagin, envahissant chaque parcelle de chair gonflée de son sexe, dilatant sa rondelle et lui procurant une jouissance rare à la surface des seins. Antoine avait senti Juliette partir, il avait donné un dernier coup de queue dans son vagin comprimé par l’orgasme et libéré sa jouissance en râlant et en dirigeant son membre gonflé de jus vers sa rondelle. Il s’était libéré sur son cul en giclant deux ou trois fois et en se branlant la bite pour accompagner chaque lampée de jus. ...
    ... Cela avait été pour Juliette l’apothéose de sa jouissance, elle avait poussé un cri rauque en sentant ce sperme chaud gicler sur elle. Elle avait relevé son beau cul pour que son petit trou puisse boire tout ce foutre chaud, l’intérieur de ses fesses étant comme les parois d’un calice le long desquelles glissait lentement le jus épais de son homme. Juliette adore qu’Antoine éjacule sur son cul ouvert, elle aime le contact du foutre sur la peau de l’intérieur de ses fesses et le sentir dégouliner jusque dans son intimité anale. Encore gémissante, elle avait tendu un bras entre ses jambes et avait pris la queue d’Antoine qu’elle avait branlée lentement et qu’elle avait mise au chaud en la frottant contre son clitoris pour accompagner les derniers spasmes de sa jouissance. Enfin repus, ils s’étaient allongés. Elle sur le ventre, les bras repliés sous l’oreiller tandis qu’allongé sur le côté contre elle, Antoine lui avait caressé les fesses et l’intérieur des cuisses. Elle avait ronronné sous ses caresses, bercée par la litanie des petits mots affectueux et cochons qu’il lui susurrait à l’oreille. Mais Juliette en avait voulu encore, elle avait repoussé Antoine sur le dos, s’était mise à genoux de part et d’autre de ses jambes et avait fait glisser lentement ses lèvres et sa langue sur le torse, le ventre et enfin le bas ventre d’Antoine. Puis elle s’était avancée et avait remplacé la douceur de sa bouche par celle de ses seins, en saisissant le sexe d’Antoine et en le faisant ...