Antoine et Juliette - Histoires de Sexe

Antoine et Juliette

... de sentir dans sa bouche grossir une queue, tourner sa langue autour d’un gland et le laper, gober une paire de couilles pour ensuite lécher la tige qui les prolonge et venir agacer de ses lèvres gonflées le bord du gland. Elle frémit d’avoir une queue tout près de son visage ou dans sa bouche, voir d’aussi près ce membre gonfler sous ses caresses, voir la peau du sexe qui va et qui vient quand elle le branle, mais c’est, par-dessus tout, avoir une grosse queue dans la bouche qui la fait toujours mouiller très fort. Elle goba avec avidité la bite d’Antoine et tout en gardant le gland en bouche, elle le branla lentement et sentit avec délice sa chatte qui mouillait de nouveau énormément. Elle pivota de telle sorte qu’il puisse, en la caressant et en la léchant, juger de l’effet que la fellation produisait sur elle. Elle lui souffla de laper sa moule trempée, que sa grosse pine était bonne à sucer et qu’elle aimait ça, qu’il lui baise la bouche. Antoine plongea sa bouche dans la chatte de Juliette avec délice, il aspira son clitoris et fouilla avec sa langue son trou offert aussi profond qu’il put, déclenchant chez Juliette des gémissements de plaisir et des mouvements de croupe lascifs, qu’il accompagnait avec ses deux mains arrimées à son magnifique cul. Ses mouvements devinrent plus rapides et ses gémissements, bien qu’étouffés par sa bite, plus sonores. Elle parvint à lui dire entre deux succions mouillées qu’elle aimait ça, jouir avec sa queue dans la bouche, qu’elle ...

... allait jouir, que c’était bon, qu’il la baisait bien et c’est quand il lui enfonca deux doigts dans la rondelle qu’elle partit en un long gémissement, accompagné de furieux mouvements de culs. Elle n’en finissait pas de jouir, elle dégagea la queue d’Antoine pour reprendre son souffle, ses râles étaient entrecoupés de mots incohérents où il était question de trous défoncés, de grosses pines gonflées, de seins couverts de sperme, de pipes avec deux queues, de couilles vidées, de garage à bite … Elle n’en continuait pas moins à branler Antoine, qui se dégagea du sexe trempé de Juliette. Il la fit s’asseoir et se mit à genoux face à elle. Elle reprit sa fellation avec douceur et avec son savoir-faire inégalé. Il lui prit le visage à deux mains et lui dit en la regardant dans les yeux qu’il allait jouir dans sa bouche, qu’elle allait tout avaler, qu’elle était sa grosse jouisseuse, sa grande vicieuse, elle le branla de plus belle en prenant une expression de nonne contrite et avala son membre en acquiescant. Antoine se sentit littéralement exploser, elle reçut alors son jus qui envahit brutalement sa bouche, il s’agrippa aux seins de Juliette voulant ajouter à la jouissance de son sexe celle du contact de ses énormes nichons gonflés. Il ne pouvait voir l’extrémité de sa queue, qu’il imaginait remplissant la bouche de Juliette mais il voyait l’ovale superbe de ses lèvres gonflées autour de sa tige et il savait que sa bite crachait de puissants jets de sperme dans la bouche offerte de ...