1. Sans Confession


    Datte: 10/02/2018, Catégories: f, h, grp, fbi, fplusag, Collègues / Travail religion, taille, fépilée, bizarre, fsoumise, fdomine, humilié(e), contrainte, cérébral, revede, noculotte, BDSM / Fétichisme facial, Oral fist, fdanus, fsodo, sm, donjon, attache, fouetfesse, piquepince, humour,

    ... exemple, et qu’elle me regardait. Elle se tenait debout au milieu de la salle de bain à contempler mon corps nu, mais je me sentais obligée de l’ignorer, de continuer à me laver comme si elle n’était pas là. Et elle profitait bien du spectacle.— Ce sont là de bien viles pensées, ma fille.— Je ne le sais que trop, mon père. Je ne suis pas de mœurs si frivoles que je désire m’exhiber nue devant une autre femme, surtout devant Inès. J’ai tellement honte, vous savez ? Mais que puis-je faire pour contrôler mes songes ? Ce succube m’assaille pendant mon sommeil. Je ne puis lui échapper. Qui plus est, ces rêves deviennent de plus en plus fréquents et réalistes. Le scénario s’affine aussi et semble se préciser. Au fil des nuits, c’est toujours les mêmes personnages, le même décor.— La salle de bain ?— Non, ça c’était au début. Il y a encore quelques semaines, cela pouvait se passer n’importe où. Dans les bois, dans un cinéma, sur un parking. Elle me regardait ou elle me caressait. Parfois c’était elle qui se déshabillait. Parfois il y avait des hommes ou d’autres femmes. Mais maintenant, ça commence toujours de la même façon : Je suis dans une espèce de construction médiévale. Il y a une cour au centre, avec une sorte de déambulatoire. C’est peut-être un cloître.— Et elle aussi, elle est dans le cloître ?— Attendez, mon père, j’y arrive, reprit Estelle, soulagée que le prêtre s’intéressât enfin à son histoire. Elle est là mais je ne le sais pas encore. Je marche dans une sorte de ...
    ... couloir infiniment long. Je ne porte qu’une fine nuisette de satin blanc qui m’arrive à mi-cuisses et qui n’est retenue à mes épaules dénudées que par deux fines bretelles. Je sais que je suis nue en dessous à l’air frais qui caresse la peau de mes fesses et au frottement de la fine étoffe sur mes mamelons érigés par le froid Dans ce couloir, je croise des religieuses qui vont toutes dans l’autre sens, parfois seules, parfois conversant à mi-voix deux par deux. Elles m’ignorent et je ne ressens aucune envie de leur parler. Alors je continue à avancer, comme à contre-courant, flottant légèrement au-dessus du sol et je me laisse porter par un autre flux, d’origine inconnue et que les nonnes ne peuvent pas sentir. Je crois que si je voulais changer de direction, je ne pourrais pas, mais je n’en ai jamais l’intention. Je n’y pense même pas. — Ces nonnes vous indiquent pourtant le chemin du Salut, et vous le savez.— Comment l’ignorer, mon père ? Mais il me semble que ma volonté a été annihilée. Je me laisse donc emporter par le courant et je me retrouve bientôt dans une petite cave voûtée. Autour de la pièce, le long des murs de pierre suintante, six piliers massifs soutiennent une double croisée d’ogives d’où pendent de longues chaînes terminées par des colliers de cuir. La salle rappelle les terreurs de l’inquisition. Des instruments de torture venus d’un autre âge, tous plus effrayants les uns que les autres, sont répartis méticuleusement en ses quatre coins. Là, je réalise ...
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