1. Sans Confession


    Datte: 10/02/2018, Catégories: f, h, grp, fbi, fplusag, Collègues / Travail religion, taille, fépilée, bizarre, fsoumise, fdomine, humilié(e), contrainte, cérébral, revede, noculotte, BDSM / Fétichisme facial, Oral fist, fdanus, fsodo, sm, donjon, attache, fouetfesse, piquepince, humour,

    ... lui mentir, ni tenter de m’échapper. Alors je le fais. Je me trousse jusqu’à la taille devant elle et les deux gardes, morte de honte. Elle tourne lentement autour de moi. Elle observe mes fesses avec attention. Elle me complimente sur mon sexe épilé… — Votre hum… sexe est… épilé ? s’étrangla le prêtre.— Oh, je suis désolée mon père, gloussa Estelle en rougissant. Je ne voulais pas vous choquer. C’est mon ex-copain, il disait que… que ça lui plaisait, comme ça. Et puis j’ai conservé l’habitude. Vous savez ce que c’est. Je suis jeune et…— Je comprends, interrompit le prêtre, désireux de traiter les problèmes par ordre de priorité. Et ensuite, que se passe-t-il?— Ensuite, elle me demande de retirer complètement ma nuisette, car elle veut voir mes gros seins, comme elle dit. Bien sûr, j’obéis sans dire un mot. Une fois que je suis entièrement nue, elle se place devant moi et pose ses mains sur mes hanches. D’un signe de tête, elle ordonne aux deux gardes de se placer à mes côtés. Ses mains remontent alors lentement le long de mes flancs et viennent soupeser ma poitrine. Elle semble prendre beaucoup de plaisir à déguster ma peau, comme ces papillons dont les organes du goût se trouvent au bout des doigts. Ses ongles sont d’une incommensurable délicatesse. Elle les laisse flotter sur mes seins, ce qui éveille en moi de délicieux frissons. De ses griffes légères, elle m’électrise les mamelles. Elle les pince, sans me faire mal, les tire doucement, puis de plus en plus fort, ...
    ... forçant ainsi les tétons à durcir. Petit à petit, elle commence à me les maltraiter avec plus de fermeté, comme j’aime tant qu’on me le fasse, comme si elle l’avait senti. Mais elle ne s’arrête pas là. Elle durcit encore le traitement et bientôt elle me les tord et les secoue cruellement de bas en haut jusqu’à ce que la douleur devienne insupportable et que, les larmes aux yeux, je l’implore d’arrêter. — Les deux gardes vous maintiennent-ils ?— Non. Je crois qu’elle ne les a mis là que pour me faire peur et me conforter dans mon désir de soumission. En fait, pendant tout le supplice, je garde spontanément les mains derrière le dos et je tends ma poitrine vers l’avant pour lui faciliter la tâche, même quand elle me fait mal. Il me semble qu’elle apprécie ma passivité, comme si subir les derniers outrages sans broncher devait être mon unique manière de lui plaire. D’ailleurs, quand elle cesse enfin de me tourmenter, après que je lui aie demandé dix fois d’arrêter, elle parait un peu déçue que j’aie craqué si tôt. Elle braque alors ses yeux gris dans les miens et me demande à brûle-pourpoint si je me suis déjà fait… enculer.— Ma fille, vous êtes dans la maison de Dieu !— Excusez-moi, mon père. Sodomiser. Mais ce n’est pas le mot qu’elle utilise. Enfin, je lui réponds que non, bien sûr que non. C’est une pratique répugnante et un péché mortel. Alors elle me dit que c’est regrettable car ça serait plus facile si je n’étais pas pucelle.— Vous êtes vierge ?— Analement, seulement, c’est ce ...
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