Sans Confession
Datte: 10/02/2018,
Catégories:
f,
h,
grp,
fbi,
fplusag,
Collègues / Travail
religion,
taille,
fépilée,
bizarre,
fsoumise,
fdomine,
humilié(e),
contrainte,
cérébral,
revede,
noculotte,
BDSM / Fétichisme
facial,
Oral
fist,
fdanus,
fsodo,
sm,
donjon,
attache,
fouetfesse,
piquepince,
humour,
... l’originale. En tout cas, il semble que, par le biais de vos rêves, vous tentiez de vous punir vous-même pour les désirs pervers que vous inspire inconsciemment cette femme.— Mon père, quand je veux voir un psy, je ne viens pas dans une église. C’est plus grave que ça. Je me tue à vous dire que je suis possédée. Je n’ai aucune envie de faire don de mes fesses à cette folle. Sous le fouet, j’endure la douleur si stoïquement que je crois un instant que je vais réussir à lui tenir tête. Mais le combat entre la peau délicate de mes fesses et le cuir tanné du martinet est trop inégal. J’ai peur qu’elle ne me zèbre jusqu’au sang. Heureusement, elle interrompt parfois la grêle de cuir pour au contraire me flatter subtilement l’entrecuisse. Quand sa main fraîche effleure mes brûlures, je sens ma peau renaître et je peux relâcher ma tension nerveuse. C’est lors d’un de ces moments bénis qu’elle approche lentement sa joue contre la mienne, son souffle dans mon oreille, sa main gauche vérifiant par derrière si je mouille et la droite caressant tendrement le dessous de mes seins. Sa bouche se retrouve à moins d’un millimètre de la commissure de mes lèvres. Elle m’embrasse sur la joue, comme une amie. Je tends ma bouche vers la sienne, mais elle s’écarte imperceptiblement, ses lèvres entrouvertes toujours en suspens à un doigt des miennes, à peine. Lentement, sa main glisse sur ma vulve et soudain, je craque. Les yeux embrumés, je lui murmure ce qu’elle veut entendre. Elle éclate alors ...
... de rire en me traitant de gouine et reprend immédiatement ses distances. — Oh ! la perfide ! S’exclama le prêtre qui pensait ne pas connaître pire insulte.— Elle m’intime aussitôt l’ordre de plier les genoux et de bien me cambrer, de façon à être mieux équilibrée et pouvoir me passer de mon appui au mur. Selon elle, je vais avoir besoin de mes deux mains pour maintenir mes fesses écartées. Quand elle est enfin satisfaite de ma position, elle pose une grosse goutte de crème froide sur mon œillet. Elle étale ensuite la crème dans toute ma raie en insistant sur ma collerette et enfonce parfois le bout de son doigt pour me lubrifier aussi l’intérieur. Quand ses phalanges, en ces occasions, forcent ma barrière anale, je réalise la porté de mes dernières paroles. Mon corps tout entier s’insurge contre cette intrusion, mais j’ai beau essayer de fermer mon anneau, le doigt vaseliné parvient toujours à passer, toujours plus profond. Toute résistance semble vaine. Au moment où elle estime que je suis prête pour la suite, elle applique doucement l’embout ouvert du tube de vaseline au centre de ma rosette luisante et presse dessus d’un coup sec. Je sens la crème huileuse m’emplir brutalement le rectum et découvre alors une sensation inouïe, comme le rugissement croissant d’une avalanche de stupre sur le point de dévaster mes entrailles. C’est ce pressentiment qui fait que, subitement, je me sens capable d’engloutir n’importe quoi par « là ». Mon corps tout entier appartient à cette femme, ...