1. La bourgeoise et le marabout (4)


    Datte: 10/02/2018, Catégories: Partouze / Groupe

    Ma consultation chez monsieur Coulibadou remonte maintenant à deux semaines et il me reste donc une semaine avant de retourner le voir. Cette période n’a nullement été inactive sur le plan sexuel car ma nouvelle lingerie, achetée en cachette chez monsieur Robert, plaît énormément à mon époux. Il lui est arrivé plusieurs matins de me dire « Chérie, fais-moi plaisir s’il te plaît, mets ta nouvelle parure de lingerie ». J’ai beau lui dire que ce n’est pas vraiment mon style, il me répond toujours que lui adore et qu’il y pense parfois la journée quand il est au bureau. Il ajoute que cela l’excite encore plus en imaginant que des hommes peuvent voir lespoils de mon sexe lorsque je suis dans les escalators dans le métro ou les grands magasins. Je lui demande « Cela ne te rend pas jaloux ? » ; « Non, c’est excitant d’avoir une femme convoitée ! » me répond-il. Trois ou quatre soirs, alors que je me déshabillais pour me mettre en chemise de nuit, il s’est collé à moi avant que je retire la parure et m’a fait mettre à genoux sur le prie-Dieu que nous avons près du lit. Bien calé derrière moi, me tenant fermement par les hanches, il m’a prise sans ménagement profitant de la fente de mon string. « Tu n’es qu’une petite bourgeoise salope, tu le caches mais tu aimes la queue » me dit-il. Ce langage cru, que je ne suis pas habituée à entendre semble l’exciter énormément et ses coups de bas-ventre n’en sont que plus forts. «petite pute, je vais bien t’arroser » ajoute-t-il en se ...
    ... vidant en moi. Bien que ces saillies du soir soient rapides, elles me font le plus grand bien et je découvre ainsi une autre personnalité de mari, pervers, lubrique et peut-être même prêt à me partager avec d’autres hommes. Mais voilà le jour convenu pour mon rendez-vous chez mon marabout. Comme la fois précédente, je pars en avance afin de passer au magasin de monsieur Robert. Boulevard de Clichy, je me surprends à regarder avec attention toutes ces tenues sexy qui m’avaient tant choquée il y a trois semaines. Lorsque j’arrive au magasin, le gérant est seul et le protocole est le même, il me salue, je lui tends l’enveloppe, il me fait entrer dans la même cabine et me demande de me déshabiller entièrement le temps qu’il aille chercher la lingerie prescrite par monsieur Coulibadou. Lorsqu’il revient, je suis nue en escarpin, assise dans le fauteuil de la cabine. Il se met à genoux à mes pieds, retire une à une mes chaussures et m’enfile un bas noir très léger à chaque jambe avant de remettre mes escarpins. Puis, il me fait me lever et me retourner. Il me passe un large porte-jarretelles qu’il m’attache dans le dos puis fixe les jarretières aux bas. Il me fait asseoir de nouveau face à lui, me fait bien écarter les jambes et pose son visage sur le haut de mes cuisses. Je ne dis rien et me laisse aller alors il accentue la pression de ses mains me forçant à ouvrir grand les jambes. Mon corps s’étend en arrière tandis que mon bas-ventre glisse vers l’avant au contact de sa bouche. ...
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