La bourgeoise et le marabout (4)
Datte: 10/02/2018,
Catégories:
Partouze / Groupe
... parenthèse sensorielle extra temporelle. Puis voilà que l’assistant se retire et, alors qu’il se répand longuement sur mes fesses et mes reins à grands coups de jets crémeux, mon maître délivre dans ma bouche le précieux médicament, mon élixir de jeunesse, mon remède miracle. Quelques minutes plus tard, me voilà assise sagement dans mon fauteuil face à monsieur Coulibadou bien calé derrière son bureau de bois d’ébène tandis que son assistant se tient droit près de lui. « Comme vous l’avez noté, Hélène, il n’y a que moi qui peux vous prodiguer, quel que soit le mode d’admission, le précieux médicament nécessaire à votre traitement. » m’énonce le marabout, puis, poursuivant « Il en sera de même pour la suite des consultations et cela quels que soient les exercices d’application ou les mises en situation que je vous ferai vivre pour vous faire poursuivre vos progrès. Bien sûr, comme je vous l’ai précisé lors de notre première rencontre, vous pouvez décider à tout instant, sans aucune justification, que la thérapie est terminée et que vous êtes satisfaite des résultats obtenus à ce moment-là ». C’est de manière ...
... irréfléchie que je m’entendis lui répondre « Maître, même si vous m’avez déjà grandement aidée et j’en mesure les résultats dans les relations avec mon époux, je considère que vous pouvez encore m’apprendre beaucoup. Je souhaite donc que vous poursuiviez et je vous fais entièrement confiance ». Après m’avoir remis un nouveau flacon de médicament, il me dit « Dans l’immédiat, je ne suis pas en mesure de vous préciser la date exacte de notre consultation. Aussi, si vous n’y voyez pas d’inconvénient, je vous le préciserai par téléphone en vous adressant un SMS au numéro de portable que vous m’avez donné ». Dans la rue, en repartant vers le métro de la Place de Clichy, je pense que l’attente va être longue et que monsieur Coulibadou a ainsi trouvé là un moyen de me rendre un peu plus dépendante de lui. Alors qu’avant je pouvais compter les jours qui me séparaient de ma consultation et ainsi dompter en partie mon impatience, là j’allais sans cesse épier mon téléphone, vibrer au moindre message et peut-être même devoir trouver seule les solutions permettant d’apaiser ma toujours plus grandissante envie de découvertes sexuelles.