Le mâle oméga
Datte: 09/07/2017,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Humour,
Partouze / Groupe
Cette histoire fait suite à Initié par un couple libertin, mais peut se lire indépendamment.Au cours de l’été 1990, alors que j’étais encore un jeune puceau à peine sortir du cocon familial, j’ai rencontré un couple de Britanniques fortunés, Gwen et Tom, qui m’ont initié à tous les libertinages imaginables. À leur contact, je me suis soumis à tous leurs nombreux fantasmes et je suis progressivement devenu leur esclave sexuel, renonçant à toute dignité personnelle. Ce choix m’a permis d’accéder à toute la gamme de la sexualité, avec une incroyable variété de femmes avec lesquelles j’ai eu l’occasion d'avoir des relations intimes. Depuis ce jour de rêve, ma vie est littéralement devenue un film porno dans lequel il ne se passait pas un seul jour sans que la liqueur de mes testicules se vide dans tous les orifices humains des deux sexes. Entraîné à baiser comme un champion, impitoyablement dressé par une maîtresse à la fois perverse et câline, soumis à une discipline de fer, j’étais devenu une bête de sexe, chaque jour plus endurant et plus vigoureux à pratiquer la fornication.Dans le même temps, ils m’entretenaient en dépensant sans compter : je vivais dans un luxe incroyable empli de parfums délicats, de vêtements de marque et de bijoux dont ils paraient mon corps. Mais le plus souvent, je restais nu et tenu en laisse, docile à satisfaire sans délai les moindres désirs de mes maîtres.Ma maîtresse surtout, Gwen, me punissait à la moindre incartade. Elle le faisait même en ...
... l’absence de toute faute de ma part, simplement pour le plaisir d’exercer son arbitraire et me placer dans un sentiment d’infériorité permanente. Il n’y avait pas de logique dans ma vie, juste de la folie qui ne cessait pas : alternativement, je baisais au point que ma prostate me faisait mal, puis je subissais le fouet ou différents supplices, attaché au plafond de leur donjon, ou bien en pleine forêt ou dans d’autres endroits où nous risquions de croiser d’autres gens, car ils aimaient pratiquer la sexualité non conformiste en s’exhibant – et en m’exposant moi-même aux regards d’inconnus, afin de brimer ma pudeur et de faire de moi un sous-homme.Tom, le mâle alpha, jeune et fortuné, flegmatique et plein de morgue à mon égard, adoré par sa femme, la baisait librement en toute circonstance, entre deux parties de golf avec ses amis. Occasionnellement, mon cul était sa cour de récréation, moins par goût du sexe gay que parce qu’ils avaient constaté que cela me faisait mal et que j’avais horreur de me faire sodomiser. Quant à moi, le mâle oméga, le dernier des derniers, celui dont Gwen écrasait les testicules sous sa longue botte de cuir rouge, j’avais perdu mon statut d’être humain, ravalé au rang de sex-toy excitant, mais négligeable. Je n’en revenais pas qu’il était possible de s’abaisser à ce point, et d’y consentir librement, dans le seul but d’avoir du sexe.J’aimais particulièrement être fouetté. Je frémissais délicieusement au son de la lanière de cuir dont l’extrémité passait ...