1. Le mâle oméga


    Datte: 09/07/2017, Catégories: BDSM / Fétichisme Humour, Partouze / Groupe

    ... belle attachée qui semblait ne ressentir aucun problème avec cette position la tête en bas. Il faut dire que le couple avait vécu quelques années en Australie, ce qui lui avait permis de s’habituer.C’était Noël ! Pour l’occasion, j’ai eu droit à une faveur : celle de pouvoir sucer la chatte pleine de sperme de la maîtresse. Pour cela, après avoir détaché Gwen avec précautions, c’est sans ménagements qu’on m’a attaché à mon tour par les pieds. Puis elle s’est approchée afin que ma bouche soit à la même hauteur que sa vulve toute garnie de sucs sexuels, et j’ai léché le clitoris, et aussi bu à la coupe vaginale remplie de semence. Après l’orgasme, elle s’est retournée pour que procède de même avec son cul, tout aussi bien garni des liqueurs mâles de Sam et Otto, que j’aspirais tout en pratiquant ma feuille de rose.La chatte comme l’anus étaient copieusement imbibés d’un fabuleux mélange de foutre, de sueur et de mouille, avec des parfums de fauves et rut et de fée libertine : grâce aux fornications qui venaient d’avoir lieur, c’était un océan génital pourvu d’une belle palette de saveurs. J’en ai avalé une grande quantité : cet élixir a constitué le meilleur repas de ma vie, surtout au moment où, dans un sursaut de jouissance, alors que je ...
    ... fourrais ma langue dans son vagin et qu’elle se titillait elle-même le clitoris, elle a eu une éjaculation féminine de grande ampleur qui a jailli dans ma bouche. Elle gémissait et se tortillait de joie, ma reine prisonnière des liens !Je suis resté attaché dans cette inconfortable position pendant toute la durée du déjeuner, juste à côté de la tablée où les convives bavardaient. De là où je me trouvais, je pouvais voir qu’à tour de rôle, Gwen branlait les invités avec ses pieds, sous la table. Les charmants petits petons blancs que j’adorais étaient tout maculés d’une épaisse couche de sperme. Puis, pour ma plus grande joie, elle a tourné ses orteils vers moi pour que je les lèche. Vraiment, c’était Noël !Après une démonstration par Gwen de l’usage du fouet sur mon corps vulnérable et toujours attaché en position inversée, les trois frères sont repartis sur leurs motos. Je ne les ai plus jamais revus. Mes maîtres ont attendu le soir avant de me détacher. Mais j’ai passé le temps en leur léchant les parties intimes. Il fallait bien que je susse qu’un esclave est fait pour souffrir.Chères lectrices et chers lecteurs, n’hésitez pas à me laisser un commentaire, voire à me confier un fantasme sur lequel vous voudriez que j’écrive une histoire. 
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