Gerbe d'étoiles filantes au Pilat
Datte: 11/02/2018,
Catégories:
hh,
jeunes,
vacances,
plage,
collection,
volupté,
Voyeur / Exhib / Nudisme
intermast,
hdanus,
init,
... un peu sympa et étalons-nous… À l’abri d’un repli de sable, un peu à l’écart de la foule, le groupe s’étale, se vautre face au spectacle qui, il faut bien l’admettre, est grandiose. Au pied de la dune s’étale l’océan et, à l’horizon, le soleil qui se couche se pare de toutes les nuances du jaune au rouge… reflété par l’étendue d’eau grise, puis noire. Absorbé par la contemplation, presque extatique, du soleil couchant, je n’ai remarqué ni que la foule se retirait, petits groupes par petits groupes, ni que mes compagnons s’étaient tous dévêtus… Nus, face au soleil couchant, une sensation insolite… comme le spectacle que je découvre autour de moi. Rapidement, pour rester dans l’ambiance, question de ne pas trop marquer ma différence, j’ôte mes vêtements… Les derniers rayons de soleil viennent caresser mon corps, accompagnés d’une brise de mer qui me caresse les poils. L’instant est magique. J’ai presque la sensation de renaître face à l’astre du jour déclinant… Et je continue à m’abîmer dans la contemplation de cette féerie. Dos droit, assis en tailleur sur ma serviette, les mains posées sur mes genoux, je me contente pour l’instant d’ouvrir et de fermer les yeux régulièrement, pour absorber un maximum d’images, d’impressions et de sensations… Soudain, une main vient fureter sur mon dos, fait rapidement le tour de mes reins, passe sur mon ventre, et les doigts se perdent dans les poils de mon pubis, descendent vers mon sexe, au repos. La main, chaude, douce, timide mais ...
... fermement décidée à aller jusqu’au bout, effleure mon sexe qui à son contact se raidit brutalement. Surpris, j’ouvre les yeux… mais je ne vois rien. La nuit est tombée… le silence est juste troublé par le bruit du vent dans les quelques touffes d’herbes qui se trouvent autour de moi… Dans mon dos, je sens la présence d’une chaleur et le souffle court qui murmure dans mon cou… — Chut, ne bouge pas, laisse toi faire… d’accord ? Sous l’effet de cette soudaine caresse, je ne sais que dire. Il me semble qu’aux alentours, le vent ne m’apporte pas que le bruit de son passage dans les feuilles sèches mais transporte aussi des souffles plus humains, plus rauques… Et la main joue sur ma hampe, à moitié en érection, va-et-vient, de haut en bas, tantôt dessus, tantôt dessous, puis, sentant les réactions, l’empoigne avec une grande délicatesse. Sous la chaleur et le toucher, elle se redresse, se gonfle, durcit. Mon partenaire du moment ralentit son va-et-vient excitant et énervant, puis le reprend, excitant encore plus toute la peau tirée. Je laisse faire, défais mes jambes, les étale et m’appuie contre un torse qui me colle déjà. Le contact de cette peau nue, imberbe, puissante me donne la chair de poule, me fait frissonner… La main s’active, monte et descend, avec cette lenteur exaspérante qui vous incite à en vouloir plus… plus de contacts, plus de rapidité et… plus de lenteur. Tandis que mon sexe grossit et prend du volume, une autre main vient caresser mes pointes de seins. Elle les ...