1. Gerbe d'étoiles filantes au Pilat


    Datte: 11/02/2018, Catégories: hh, jeunes, vacances, plage, collection, volupté, Voyeur / Exhib / Nudisme intermast, hdanus, init,

    ... rien ne peut être aussi romantique que de prendre du plaisir en plein air, dans la nature, au sommet de la dune du Pilat, sous un ciel estival tout étoilé. Mais mon compagnon semble soudain vouloir qu’à mon tour je lui rende la pareille. Il est étalé de tout son long à même le sable fin et frais, le sexe dressé vers le ciel, attendant mes caresses pour connaître, lui aussi, l’aboutissement de son excitation. Je n’ai qu’à me tourner légèrement et voilà ma bouche au niveau de son pubis… Un peu de sable fin crisse sous mes lèvres… Je hume, je sens, je respire les odeurs un peu surettes et âcres de la sueur qui orne ses poils drus. Du bout des lèvres, du bout de la langue, du bout des dents, j’explore cette large et longue hampe dressée devant moi, qui s’offre impudiquement. Le contact est chaud, satiné, doux… Je le suçote, je le suce, l’aspire, l’avale, va-et-vient… du haut en bas, par-dessus et en dessous, vers les bourses, vers le méat… Il s’enfonce dans ma bouche, se dresse encore plus, durcit, tressaute au fond de ma gorge… Il m’étouffe et pourtant j’ai hâte que cela continue. Je le veux tout. Jusqu’au bout. Et pendant que ma bouche le caresse, mes doigts explorent ses fesses. Léger duvet… Sous mes doigts, la peau lisse et ferme, élastique, m’oriente vers le petit trou. Une entrée serrée, un peu râpeuse, hérissée de picots et de petits plis qui palpitent à mon approche, à mon contact… L’orifice s’entrouvre, s’ouvre, bée… Le doigt devient explorateur, fureteur. Je ...
    ... l’introduis doucement, pousse toujours plus loin mon inspection, mon introduction. Dans ma bouche, le sexe semble devenir une barre d’acier. Il est tendu, prêt à exploser. Et mon doigt commence un long et lent mouvement de piston. Le ventre se soulève, les fesses s’écartent, invitation à prolonger cette douce caresse, cet instant palpitant où le plaisir monte crescendo et durant lequel on voudrait que jamais cela ne cesse. Mes mouvements s’amplifient, s’accélèrent… la respiration de mon compagnon devient râle de plaisir, ahanement de désir, cri de jouissance. Il éclate dans la nuit au moment où je m’écarte et le reçois sur la joue, en travers de la bouche, sur le menton… Ma main est prise dans les spasmes fessiers qui me broient le doigt, à la limite de la rupture. De l’autre main j’aide à parachever le plaisir, accompagnant les derniers instants en caressant la hampe… et en calmant ainsi le désir… La mâchoire tétanisée par la grosseur de l’engin que je viens de sucer, le doigt enfin libéré, je retombe sur le dos… les yeux vers le ciel, contemplant une pluie d’étoiles filantes qui me font instinctivement penser à la jouissance de ce garçon à qui je viens de donner du plaisir et qui m’en a tant procuré… L’air océanique, la fraîcheur de la nuit aidant, le petit groupe remet ses vêtements… et nous reprenons, en glissant et en sautant, le chemin de la voiture, jetant un dernier coup d’œil au paysage qui nous entoure, témoin minéral et silencieux de nos ébats… Des ébats qui malheureusement ...