Histoire imaginaire dans une ville perdue. (1) - Histoires de Sexe

Histoire imaginaire dans une ville perdue. (1)

Je m’appelle Jessica, j’ai maintenant 21 ans et j’ai un problème assez embarrassant. J’ai un gros crush sur mon père. C’est quelque chose d’assez pesant pour moi. J’ai essayé tant bien que mal de refréner mes pulsions, sans succès. Je ne sais pas si c’est le fait d’une attirance seulement physique ou si je nourris réellement des sentiments plus qu’affectueux pour lui. Dans tout les cas, il y a une certitude, j’ai des palpitations dans tout le corps quand je le vois. J’ai, par exemple, toujours du mal à le regarder dans les yeux quand il sort de la douche. Heureusement j’ai un truc qui me permet de relâcher la tension. Il est 15 heure et des poussières, personne n’est à la maison mis à part moi. J’ai environs une heure avant le retour de ma grande sœur. J’ai largement le temps de me faire plaisir. Je l’ai déjà fait un bon nombre de fois, et c’est toujours aussi excitant pour moi. Je n’ai pas de vêtements particuliers pour ce genre de rituel. J’ai une juste une restriction, porter des pantalons. Porter des pantalons implique beaucoup de mouvements, ce qui pourrait me causer beaucoup de tort si je devais fuir à toute vitesse. Oui, sans concession, porter une robe ou une jupe a ses avantages certains. Avec un short à la rigueur. Je me suis affublée d’un pull et d’une jupe, je me faufile dans le lit de mes parents. Oui, je vais me doigter sur le lit de mes parents. J’éprouve bien trop de plaisir lorsque je le fait dessus. Avec à la clé, la possibilité de pouvoir renifler les ...

... affaires de mon père. Ces habits sont lavés bien sûr, mais je m’imagine tout contre lui lorsque je m’insère ma main sous ma jupe. Je lui chuchote des mots cochons dans le creux de l’oreille, tout ceci en jouant avec mon clito. Et lorsqu’il me prend fougueusement sur le lit, je me cache le visage dans son oreiller que je mord telle une dépravée. Papa, si tu savais comme je suis une cochonne. Que me ferais tu, si tu me surprenais sur ton lit, jambes écartés, culotte retirée ? Je suis sûre que tu me ferais hurler comme une chienne, n’est ce pas ? — Jessica ?!! tu es là ? Ce n’est pas possible ? Quelle heure est il ? Non, c’est pas possible, Il est juste 16h06, papa rentre trop tôt !! J’agis sans réfléchir. Retourner dans ma chambre, sans me faire voir. Mon cœur est sur le point de s’arrêter. Je dois être blême. Recoiffons nous, attendons. Je vais faire croire que je viens de me réveiller. Faisons mine de sortir juste de notre chambre. Oui, c’est bon, je vais prendre un air incognito. — Bonjour papa. Tu rentres tôt ? Papa, est là devant le pas de la porte. Depuis est-il arrivé ? — Ah oui, je suis parti plus tôt du travail. Tiens regardes… Il tient une boite de pâtisserie. Oh, c’est trop gentil ! La porte d’entrée s’ouvre aussitôt. C’est Monica. -Hey, Jessie ! Hey PAPA !! -Ma chérie. (il lui fait un hug) -Tu rentres tôt ? -Ha oui, je voulais vous voir plus tôt, alors je me suis enfui du travail. Tandis qu’il rient de bon cœur, je viens de me rendre compte de quelque chose : je n’ai pas ...