1. Histoire imaginaire dans une ville perdue. (1)


    Datte: 11/02/2018, Catégories: Inceste / Tabou

    ... de culotte. Je l’ai laissé où. Oh non. Quelque fois dans votre existence, vous avez des épiphanies, des moments de révélations qui vous font réaliser, par exemple, qu’il est regrettable de délaisser sa culotte sur le lit de ses parents. Je me dépêche. Avec de la chance, je vais pouvoir rattraper le coup. Ouvrons la porte, en douce. Ils ne me remarquerons pas, tout occupés qu’ils sont à déguster leurs pâtisserie. Je suis dedans. Je vais rattraper le coup. Je n’ai m’approcher du lit, et en un éclair je vais récupérer la preuve de ma venue. En un éclair, je réalise qu’il n’y a pas de culotte. Sur la lit. En dessous. A côté peut être ? Qu’est ce qu’il s’est passé ? Je ne l’ai pas remarqué. Il ne referme pas la porte. Il s’approche doucement. Quand je le remarque, je crois que ma gorge me serre, ou ce sont les larmes qui commencent à monter. « Tu as oublié ça. » Elle est dans sa main. Fripée et roulée en boule, c’est la preuve qu’il me fallait. Mais je réalise que tout est foutue. Je suis désolée. Je suis tellement désolée. Tu dois être si déçu… -Jessy, qu’est ce qu’il y a ? Il me prend dans ses bras. Je ne mérite pas. -Prends ça, et faisons comme s’il ne s’était passé ? Je fais ...
    ... vraiment pitié. J’ai toujours cru que je pouvais rester la préférée de papa, et que cela n’allait jamais changé. Aujourd’hui, j’ai juste envie de me cacher dans un petit coin. Et quand tu m’a raccompagné vers la sortie, au pas de la porte de ta chambre, tu m’as dit : « Nous ne devons pas franchir le pas d’accord ? » Je me suis senti bête. Tellement nulle. Depuis tout ce temps, tu savais ? Depuis quand ? Est ce que tu m’as regardé ? Est ce que tu as tout ce que j’ai fait ? Et quand j’ai parlé, ai-je parlé si fort, pour que tu devine à qui je pensais ? Je suis partie pleurer dans ma chambre. Je me suis dit que je devais me reprendre. Oui. Je dois me reprendre . Je dois devenir meilleure, une fille bien. Je t’ai sûrement déçu, mais tu me fais confiance encore. Je dois te faire honneur et rester une demoiselle correcte. Dans les jours qui suivirent, tu as fait comme si de rien n’était. zvnzxxaw Devant maman, devant ma sœur Nini, tu est resté naturel. Je dois faire de même. Je vais faire ce que je peux. Je vais essayer. Mais au fond de moi, je sais qu’il y a une vilaine fille qui a faim. Faim de vice, de perversité. Et tu es un homme appétissant. Donne moi la force de te résister. 
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