1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N° 652)


    Datte: 12/02/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... (elle haussa le ton) une pute, une vraie grosse pute… et fier de l’être si j’en crois les dires du Maître, une vraie catin sans cesse obnubilée par ces désirs et pulsions sexuelles, les exhibant avec vérité, spontanéité et véracité. Tu imagines ce que tu es devenu en l’espace d’un an ! Une simple grosse pute esclave … Madame Marie reprit son souffle, puis peu après, exigea : - Redresse-toi maintenant et tiens-toi debout la pute, mains dans le dos, cuisses écartées, jambes légèrement fléchies et reins bien cambrés au maximum. Montre-moi comment une pute doit se tenir et se présenter ! Madame Marie sortit de sa poche une petite clé, celle de la cage de chasteté de soumis Endymion MDE. Elle déverrouilla le cadenas et dégagea son membre de cet étui en plexiglas. La bite prit immédiatement une belle ampleur. Madame Marie lui branla la queue et lui caressa les burnes. Endymion MDE, bras croisé dans le dos se laissait masturber sans broncher tout en contrôlant ses envies jouissives. Il savait qu’il ne pouvait pas se laisser aller sans qu’une autorisation ou un ordre lui soit donné. Là, rien n’avait été dit ! Mais Madame Marie maintenant tenait cette bite à pleine main et s’acharnait sur elle par des vas et viens tantôt lents, tantôt rapide, jusqu’au moment où l’esclave MDE commençait à bien gémir et se tordre dans tous les sens. - Ne bouge pas chienne, laisse-toi traire sans moufeter ni te trémousser, et surtout ne jouis pas ! Les choses étaient dites, la jouissance interdite ! ...
    ... Madame Marie employait une énergie folle, avec dextérité cette main allait et venait sur cette bite tendue, alors qu’Endymion MDE suppliait - Madame s’il…. S’il vous plait, arrêtez, je vous,… Je vais ! La cuisinière lâcha la queue subitement, laissa un répit de trente secondes seulement et recommença à branler le chien soumis MDE - Madame, je…. Je vous en supplie, je … je vais juter ! Elle s’arrêta et recommença encore et encore, stoppant toujours avant le point de non-retour, jouant avec cette bite prête à exploser à tout instant. Elle aimait entendre l’esclave MDE gémir et le voir se tordre et supplier, le sentir désarmé et tétanisé, implorant de ne pas le laisser jouir. Elle seule pouvait décider, elle seule avait le pouvoir, toute l’autorité et la suprématie sur ce malheureux chien soumis MDE tenue par la queue, seulement par la queue, rongé et dévoré par ces plus intimes désirs, sans pour autant les goûter, les savourer et s’en rassasier. Le sexe était devenu pour lui une véritable addiction, un aspect incontrôlable de sa vie elle-même. Il avait appris en l’espace d’un an seulement à consentir et accepter cette forme d’anéantissement qu’était son besoin sexuel. Tel un toxico du sexe, Il ne pensait qu’à ça ! Qu’il était bon pour lui d’avoir une bite dans la bouche ou dans le cul, une chatte ruisselante, sous sa langue, un cul à dévorer ! Monsieur le Marquis d’Evans l’avait conduit, en l’espace d’un an seulement, à n’être plus qu’un pantin d’une libido qu’il ne contrôlait ...